Nos amants les animaux
à l'époque où je ne m'étais pas encore assumé, je faisais d'intenses recherches sur ce qui me concernait dans divers livres sur la sexualité. Ce que j'ai trouvé: à vrai dire, rien, sinon un petit entrefilet dans le glossaire à la fin des livres. Toujours le même refrain: zoophilie=déviance. Quand j'y repense, ça me met hors de moi. Une déviance, c'est une pulsion sexuelle brute (certains diraient "animale", mais je désapprouve totalement le caractère péjoratif de ce terme) et sauvage que le sujet va chercher à assouvir par tous les moyens, même si ça s'avère destructeur pour lui et son entourage, sans aucun sentimentalisme.
Ne vous viendrait-il pas à l'idée qu'une pulsion sexuelle non brute et assortie de sentimentalisme puisse être une déviance ? Certes non, et à juste titre. Où je veux en venir ? Simplement démentir cette équation mensongère et calomniatrice, car je suis très bien placé pour savoir que la zoophilie est dans l'immense majorité des cas accompagnée d'une attirance sentimentale. Malheureusement, ceux qui n'y connaissent rien s'entêtent à refuser de l'admettre, c'est pour ça que nous sommes catégorisés "déviants", c'est vraiment dommage. Quand je suis tombé sur cette image qui est désormais mon avatar, ça m'a fait fondre, et je sens bien que j'en suis AMOUREUX, tant sexuellement que sentimentalement.
à méditer...
Que les choses soient claires: j'ai supprimé ma réponse ainsi que votre commentaire y faisant suite parce que je suis revenu sur ma décision d'y répondre comme je l'ai fait, j'ai donc reformulé ma réponse, ce qui a rendu votre commentaire qui y répondait caduque, voilà pourquoi je l'ai supprimé également.
Je précise que si vous voulez que je vous publie, ne m'accusez pas de censure abusive car c'est de la calomnie pure, donc un commentaire bête et méchant, donc impubliable.
Sachez d'ailleurs que je ne censure jamais les commentaires constructif, la preuve étant que mon avant dernier article n'est autre que la discussion que nous avons eue récemment.