1) Je ne fais rien d'illégal: je m'exprime juste dans la limite que m'autorise la liberté d'expression. Je ne fais donc ni d'apologie, ni d'incitation au délit. Le fait de parler d'un acte potentiellement illégal ne veut rien dire: il est tout à fait permis de critiquer et d'argumenter contre une loi qu'on estime mauvaise, interdire cela n'est ni plus ni moins que du totalitarisme.

2) D'ailleurs, rien ni personne n'a quoi que ce soit à me reprocher. Je ne suis jamais passé à l'acte et n'ai pas l'intention (et ce, même si mes pulsion font que j'en ai envie). La seule chose dont on pourrait éventuellement m'accuser est d'avoir une attirance sexuelle dont la concrétisation pourrait s'avérer délictueuse, mais ça, je ne l'ai pas choisi, je n'y suis absolument pour rien, et critiquer, ça porte un nom, ça s'appelle du fascisme.

3) Ce que la version officielle dit de moi ne correspond pas du tout à la réalité, elle est même le contraire. La version officielle ? Je suis un violeur multirécidiviste qui n'hésite jamais à torturer ce que je traite comme des objets pour ma satisfaction sexuelle. Si ça correspondait vraiment à la réalité, perdrais-je mon temps et mon énergie à tenter de démontrer le contraire ? Le simple fait de dire que j'en souffre devrait normalement suffire à me disculper, alors que si j'étais réellement coupable, cette souffrance m'aurait toujours été complètement étrangère. Le simple fait de m'injurier constituera une preuve que vous me jugez sur la base de vos préjugés et que vous parlez de moi sans me connaître.

Pensez-y lorsque vous commenterez.