Suite à un sondage que j'ai publié récemment, Douce Écaille a posté le commentaire suivant: " (...) je l'aime, je suis comme sa, et ne troquerais cette partie de ma personnalité pour rien au monde. Bien que sa soit difficile tous les jours, je suis fier d'aimer d'autres animaux que les hommes (...)"

Même si la notion de fierté me paraît un poil exagérée dans ce cas-ci, ça fait réfléchir. Eh oui, même si il est difficile voire déconseillé de la mettre en pratique, il est parfaitement possible de vivre très bien sa zoosexualité, et en allant plus loin, en être content au point de ne pas vouloir s'en débarrasser. Il suffit de dégager le positif:

1) On est excité par des choses que d'autres gens trouvent dégoûtantes.

2) On ressent un amour profond envers un être non-humain.

3) On peut se rincer l'œil en regardant National Geographic

4) On a un sentiment de plénitude en présence de notre espèce favorite.

Afin de donner un contrepoids au rejet, à l'incompréhension et au silence forcé, c'est la seule alternative: considérez cela comme une chance de connaître des sensations réellement uniques et si agréables.

Pensez-y !