La principale raison pour laquelle on se fait lyncher est le fait qu'on est tous considérés comme des zoosadiques, c-à-d qui prennent des "pauvres bêtes innocentes" pour des objets sexuels en se fichant pas mal des conséquences que ça peut avoir sur elles. Vous connaissez également la blague du hamster (on l'enroule avec un sparadrap pour pas qu'il explose quand on les encule). Ceux qui agissent ainsi sont des zoosadiques, ils existent bel et bien (dommage d'ailleurs) mais ceux qui pratiquent les relations zoo ne sont pas tous comme ça. Il y a aussi ceux qui éprouvent ce sentiment de fusion, de compréhension, d'attirance mutuelle envers son compagnon, ceux qui aiment les animaux bien plus que n'importe qui, prêt à se priver pour assurer le bonheur de son compagnon. à ses yeux, faire l'amour avec son chien est une façon exacerbée de lui donner du plaisir (si,si!), de l'aimer. Voici d'abord un témoignage émouvant trouvé sur le forum Vassilia.

[...] J’aimerais me présenter un peu. La première chose à dire à mon sujet est que je suis zoophile. En effet j’adore les chevaux, les poneys et les ânes et je fantasme aussi un peu sur les zèbres, par contre les autres animaux me laissent indifférent.

 [...] Je me définis plutôt comme étant bisexuel. Dans le genre humain se sont plutôt les femmes qui m’attirent mais je n’ai rien contre le sexe entre mecs. J’ai eu plusieurs relations homo et franchement j’adore ça aussi. Et quand il n’y a pas d’homme dans ma vie je suis un gros consommateur de godes et autre plug anal.

Dans le genre équin par conte, on peut dire que je suis homosexuel. Même si j’ai parfois quelques aventures avec les juments ce sont les étalons qui me font fondre.

J’ai ces fantasmes depuis que j’ai 15 ans environ, et j’ai commencé à les concrétiser peu de temps avant ma majorité. Depuis je n’ai jamais abandonné ni regretté cette orientation. Les chevaux c’est toute ma vie et ils m’apportent beaucoup de bonheur (que j’essaye de leur rendre de tout mon amour)

Comme vous le dites ici, je suis « bitophile » mais pour les bites de cheval. Pour moi il n’y a rien de plus beau ni de plus excitant qu’une belle grosse verge équine bien tendue. Plus c’est gros, plus j’aime, c’est ce qui m’a amené à préféré les chevaux de trait (ceux qui connaissent doivent voir de quoi je parle) Même si c’est énorme, quel bonheur de pouvoir y faire des bisous, lécher, sucer le bout du gland, y frotter tendrement ses joues…

Il m’est arrivé aussi de réussir à me faire sodomiser par un cheval (de taille plus modeste) ou par un poney, c’est sublime cette sensation de s’offrir complètement à celui que l’on aime (j’ai tendance à tomber amoureux très facilement de tous les étalons que je croise) et je compte recommencer aussi souvent que ce sera possible.

Il va sans dire que le simple contact avec un bel étalon suffit à me rendre heureux. Le prendre par l’encolure, enfouir mon visage sous sa crinière et m’enivrer de sa bonne odeur m’envois au paradis.

Sinon j’ai la chance d’être propriétaire de 2 très beaux étalons (de trait naturellement) que j’adore. L’un n’a pas une bite énorme en rapport à sa taille mais elle est très jolie et il adore qu’on s’en occupe (il adore que je le masturbe). L’autre n’est pas très branché sexe, j’ai parfois un peu de mal à l’exciter mais quand j’y arrive ça vaut le coup car il à un mandrin énorme que je m’empresse de sucer goulûment. Nu, assis sous leur ventre, les mains et la bouche occupée, je suis le plus heureux des hommes.

[...] Je leur pratique aussi très régulièrement un anulingus. C’est un petit plaisir que je ne leur refuse pas. Moi j’adore ça, c’est discret et très cochon. L’anus d’un cheval est sublime sous la langue, très doux, musclé et bien ourlé. Et les chevaux semblent beaucoup aimer ça aussi, très souvent ça les excite et ils se mettent à bander.

[...] L’anus d’un cheval n’est jamais très sale, et s’il reste un peu de crottin dessus ça s’enlève facilement en frottant doucement du bout du doigt, et si tu es un peu maniaque un coup d’éponge avec de l’eau tiède permet d’obtenir facilement un anus propre et doux. D’ailleurs ce genre de nettoyage fait partie des soins que l’on prodigue normalement à un cheval.

Personnellement ça ne me gène pas du tout. J’aime le goût du crottin et nettoyer l’anus des chevaux avec ma langue fait partie de mes petits plaisirs.

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