Quand vous pensez à la Zoophilie, les premières images qui vous viennent sont des animaux violés, battus voir mutilés, de simples jouets sexuels afin d'assouvir les bas fonds les plus pervers de certains individus peu fréquentables.

Mais si vous ne savez pas réellement ce qu'est un zoophile, je vais m'expliquer une partie de ma vie.

Depuis toujours, j'ai entretenu des liens affectifs avec les animaux bien avant la puberté, observant une fidèle admiration pour la hiérarchie canine et leurs fidélité envers l'homme, j'ai toujours vécu entouré d'animaux et toujours eu des relations cordiales avec. Au niveau sociabilisation humaine, c’était déjà peine perdue, seul et sans amis, souffre-douleur des classes, je n'ai jamais réussit à m'adapter aux autres enfants, souvent injustement battu, humilié... J'ai fini par perdre confiance en l'être humain et ses comportements destructeurs et me suis de plus en plus rapproché des chiens qui étais les seuls à ne m'avoir jamais fait de mal. A la puberté, remarquant que mes années scolaires étaient en de plus en plus désastreuses, je finis par totalement m'enfermer sur moi même, sur la pente glissante de la dépression. Mais une après-midi d’ennui, un chien viens me voir pour me faire des câlins et j'ai toujours su que je pourrais compter sur eux, c'est à partir de ce moment là que j'ai commencé à me sentir joyeux avec eux, heureux de vivre et insouciant. J'étais devenu amoureux d'un animal à l'age de 11 ans, amoureux au point de me laisser faire et que l’inévitable se produise et se sont enchaînés remise en questions et quête de savoir ce que je suis devenu. La première question que je me suis posé est "Suis-je normal ou ma vie est fichue?" cette question à été longue à se résoudre, il a fallu attendre la majorité obtenue à 16 ans par acte d'émancipation, mais jusque-là, je recherchais des endroits ou trouver des gens comme moi, je cherchais à ma rassurer, je suis tombé sur énormément de pervers qui ne cherchaient pas à comprendre ce que j'étais et qui voulais simplement un "plan cam". La première vidéo mettant un scène un animal avec un humain à été un désastre pour moi, je me suis dit « mais je suis devenu ça ? », il aura fallu attendre à force de contacts et de tri sérieux au bout de 2 ans de conversations avec certaines personnes que je les rencontres et que je voie que je ne suis pas si anormal que ça, j'ai un travail, je suis autonome et j'ai mes animaux. À partir de là, je me suis accepté et j'ai décidé de ne plus jamais cacher les sentiments amoureux que j’éprouvais pour un animal particulièrement.

Alors, depuis ce jour, j'ai commencé à agir en faveur de la protection animale, je suis confronté tous les jours avec des membres qui se sont rangé du coté des animaux par des déceptions affectives, décès d'un proche ou conviction, et tente de sauver toute animal victime de violences, prône la stérilisation et la castration, et se bat au coté d'eux pour en sauver le plus possible de la débilité humaine qui m'a fait devenir complètement ce que je suis. Professionnellement, je suis totalement épanoui et bien intégré, alors vous pouvez penser que je suis un demeuré, la médecine à prouver le contraire en cherchant sur mon décrochage scolaire est du à un QI trop élevé et c'est le fléau de l'éducation nationale de n'avoir rien prévu dans ces cas (c'est une autre histoire).

Vous me dites OK, c'est bien beau là mais ça parle pas sérieusement ce que vous faites avec vos chiens. Sachez une chose : chez moi aucun animal n'est forcé à faire quoi que ce soit, l'autorité n'est pas contestée, mes chiens ont été tous adoptés adultes avec des passés difficiles et très difficile à éduquer (alors imaginez pour des relations sexuelles), je fait preuve de la plus grande passivité (alors imaginez que je fait pas grand chose), j'ai plusieurs chiens et un seul cherche à le faire, ce n'est pas de la domination, il y obtient un plaisir incontestable et je me fais parfaitement obéir pour les ordres courant avec eux. Si aucun n'avait voulu, ça m'importerait que peux, j'aime les balades en natures et les choses simples de la vie avec eux, c'est mon essence pour mon moteur de vie et je cesserais de vivre sans eux. Je blâme les pratiques violentes, je n'accepte même pas que des animaux servent pour tourner des films X ou pour des plans de couples découvertes. Je suis ce que ont appelle un zoophile exclusif, qui n'a aucune attirance pour les humains, je ne suis pas un pervers à la recherche d'une proie à violer, je ne cherche rien, j'ai autant d'affection pour un mâle castré que non castré ou pour une femelle (avec qui, je le précise, il ne s'est rien passé de plus que des câlins). Je cherche à protéger mes semblables pour moi, je sais que jamais je ne serais compris et je cherche pas à l'être car je ne changerais pas les convictions bornées des gens en un seul témoignage qui s’empresseront de penser que cela est romancé, c'est pourtant ma réalité, je ne dit pas que c'est la réalité de tous les zoophiles que vous pensez mais eux je les appellent les bestialistes.

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