"Zoophile-man, our lovers the animals" in english
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Voici un argumentaire que j'ai trouvé sur un blog et qui me plaît beaucoup.
Beaucoup poussent vite des hurlements dès qu'on emploie ce mot "zoophilie". Les uns parlent de monstruosité et de perversion, les autres de violence et de maltraitance animale, d'autres encore emploient les quatre qualificatifs et parfois ajoutent le mot "péché". Mais peu d'entre ces personnes se sont réellement documentées sur la zoophilie. Ils ignorent par exemple qu'un zoophile ne fera jamais de mal à un animal et que la satisfaction doit être ressentie par l'humain autant que par l'animal lors de la relation sexuelle. La zoophilie, appelée autrefois "bestialité", est l'un des thèmes sexuels encore très tabou (mais ce n'est pas le pire. Le pire reste la pédophilie. Mot dans lequel tout le monde met tout et n'importe quoi, de la pédophilie et pédérastie à l'hébéphilie et éphébophilie, des notions qui n'ont rien à voir mais tout ceci fera l'objet d'un autre article). Toujours est-il que comme tous les sujets tabous et donc incompris, il déclenche la haine et souvent le lynchage. Il est rare qu'une femme ou un homme zoophile puisse s'exprimer sur sa sexualité sans recevoir une bordée d'injures. Pourtant les zoophiles connaissent bien les animaux, les aiment et sont attentifs aux signes envoyés par l'animal pour dire qu'il aime ou n'aime pas ce qu'on lui fait.
Il existe bien sûr des connards chez les zoophiles, comme partout ailleurs, mais ils ne sont pas caractéristiques de ce qu'est la zoophilie ou de ce que sont les zoophiles. Ces connards peuvent abuser et blesser les animaux mais ils sont loins d'être majoritaires. Car il existe autant de zoophilies que d'animaux et selon l'animal et le type de relation sexuelle que l'on a avec lui, il y a ou non blessure, il y a ou non violence, il y a ou non maltraitance. Introduire la tête d'un serpent ou d'un poisson dans un orifice anal, vaginal ou frotter son sexe dessus est de la maltraitance, de la violence à son encontre : le serpent étouffe et souvent en meurt, le poisson ou l'anguille hors de l'eau s'asphyxie et meurt.
La pénétration de petits animaux (oiseaux, chiens, chats, écureils, etc) ont de forts risques de blesser l'animal. Mais la pénétration de grands animaux comme une jument, une girafe, un éléphant, un rhinocéros ou un hipopotam ne risque pas d'endommager les organes de l'animal. De même, lorsqu'une femme ou un homme fait une fellation à un chien, ou se fait pénétrer par lui, il n'y a aucun risque de blessure pour aucun des deux protagonistes.
Il est donc important de savoir faire des distinctions au lieu de monter sur ses grands chevaux et faire des condamnations de principe. Vous n'aimez pas ça ? Personne ne vous oblige à avoir des relations sexuelles avec des animaux. Ne le faites donc pas. Mais laissez tranquilles ceux qui le veulent en avoir et s'exprimer à ce sujet si l'envie leur chante.
Le rejet des zoophiles est un réflexe très hypocrite et les histoires zoophiles en BD, en livres, en légendes, etc existent depuis longtemps et peuplent l'univers fantasmatiques de beaucoup de gens. Le plus souvent sous forme de relations sexuelles inter-espèces : dieux/humains, aliens/humains, animaux/humains, végétaux/humains, et même robots/humains.
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