Grâce au forum que j'ai récemment découvert, j'ai pu lire de nouveaux chouettes témoignages dont celui-ci:

La zoo je l'ai "découverte" à 10-12 ans, mais juste le terme, parce que j'avais déjà quelques fantasmes avec mes chiens dès 8 ans. Des trucs soft, genre toucher les papattes et frenchkiss. Une attirance tout à fait naturelle, pendant mes premiers orgasmes très jeune (secs, donc, je peux témoigner qu'on peux avoir des orgasmes dès 8 ans voire plus tôt) je pensais instinctivement à mes chiens, sans même savoir ce qu'étais le sexe et ce que je faisais.

Ce que je savais en tout cas c'est que regarder certaines parties du corps des animaux et des personnages de dessin animé genre le roi lion, m'excitait beaucoup. Les deux plus gros fétish dont je me souvient c'étaient les pattes des chiens et le ventre des chevaux :p.

Comme je l'ai dit à 12 ans environ j'avais eu mon dogue mâle, et en faisant ma première fellation c'est là que j'ai tilté "mais c'est du sexe, ce que je fais la" et puis "c'est de la zoophilie", j'avais du entendre ce mot un jour dans une conversation. Je me suis précipité sur google pour taper ce mot et espérer voir des gens qui comme moi, faisaient des frenchkiss à leurs toutous, leur caressaient le ventre et se frottaient intimement à eux. A la place j'ai découvert ce que vous savez. Pas choqué, j'étais très déçu par contre.

Et puis petit à petit j'ai testé des trucs de plus en plus "poussés" avec mes chiens, mais le plus loin que j'ai pu faire c'était fellation et rimming.

Donc pour moi il n'y a jamais eu de tabou zoo. C'est venu tellement naturellement, je n'ai jamais fait un quelconque choix. Je n'ai jamais eu aucune honte, c'est presque comme dire "je suis droitier", mais avec le bonheur que la zoo implique en plus. Oui je trouve que la zoo est un vrai bonheur. Pour moi la zoo n'est pas une "pratique" ou un simple fantasme, mais c'est ma sexualité à part entière, je le sais grâce au fait que justement j'étais déjà attiré par eux étant jeune enfant sans savoir ce que ça impliquais. Bon je savais que c'était pas commun et je me cachais quand meme. Mais sans culpabilité, sans aucun tabou.