Samedi 18 juin 6 18 /06 /Juin 10:19

J'ai découvert ma sexualité anormale au yeux de tous quand j'avais 14 ans. Tout ça a cause du labrador de mes grands- parents, que j'adorais car je le connaissais depuis tout petit.

 

Donc j'étais chez eux et je jouais avec lui quand j'ai vu qu'il commençais a déballer son pénis. C'était la première fois que je voyais le sexe d'un animal et je dois dire qu'à ce moment-là, j'ai ressenti une forte excitation mais j'ai lâché l'affaire.

 

Donc une fois rentré chez moi, j'y repensai de plus en plus, et je n'ai pas tenu: j'ai été chercher des renseignements sur internet. Puis je suis tombé sur divers sites payants ou totalement écœurants qui m'ont surtout dégouté sur le sujet, mais au bout d'un moment, je suis tombé sur un site d'images qui m'ont plutôt plu, au point d'en bander. Puis j'ai trouvé des vidéos assez plaisantes aussi qui ont provoqué le même effet.

 

Un mois plus tard environ, je suis retourné chez mes grand parents et donc j'ai revu le chien qui était a l'origine de mes fantasmes, mais je n'avais en aucun cas prévu ce qui allait se passer.

J'étais donc dans la chambre en train de le caresser tranquillement alors que tous le monde prenait l'apéritif. Puis il s'est remis a avoir son érection. À ce moment-là, je n'ai pas pu résister à ça, j'ai touché son superbe pénis qui pointait vers moi. À ce moment-là, il a dû comprendre que ça m'intéressait beaucoup parce qu'il s'est levé et l'a mis devant moi et m'a regardé l'air de dire "vas-y" et je n'ai pas réfléchi, c'est venu presque tout seul. Je l'ai léché. Ça avait l'air de lui faire du bien vu la tête qu'il faisait.

 

Ensuite, je ne saurais pas décrire l'émotion que j'ai ressenti à ce moment-là avec des mots, c'était tout simplement magique. Oui, c'est le seul mot qui me vient a l'esprit, c'est ce que l'on peut appeler un "élan sexuel" ou tout simplement de l'amour.

 

J'ai fermé machinalement la porte a clé (on sait jamais qui peut débouler) puis je me suis dénudé et mis a 4 pattes,  m'offrant a lui.
Il est venu doucement, m'a léché un peu l'anus et les testicules puis il est monté sur mon dos et a commencé a coller son pénis sur mes fesses, cherchant mon trou.
A ce moment-là, j'ai ressentis une once d'hésitation mais l'envie la surpassais et j'ai "guidé" son pénis jusqu'à l'intérieur de moi.
C'est juste indescriptible...

 

Au début, j'avais mal car un pénis d'une quinzaine de centimètres d'un coup, c'est peut-être trop. J'aurais dû me préparer mais je n'y ai pas pensé. Mais très vite, la jouissance a surpassé la douleur, et pas qu'un peu! J'avais envie de crier de joie mais je me suis retenue pour ne pas attirer l'attention car j'imaginais la tête des membres de ma famille si ils savaient ce que je faisais à ce moment-là.

 

J'ai donc joui comme ça pendant plus de 10 minutes jusqu'à ce que j'éjacule mais je ne pensais pas qu'il se retournerait et resterait "coincé" en moi pendant autant te temps (au moins 25 minutes). Pendant tous ce temps-là, je sentais son sperme chaud couler à flots en moi, c'était réconfortant et ça apaisait la douleur.

 

Mais j'avais pas pensé a un truc, un truc important même: si tout ce sperme rentre, il faut bien qu'il ressorte! et quand mon nouvel amour est ressorti de moi, ça coulait sur le carrelage ! J'ai donc dû tout nettoyer pendant que cette brave petite bête se léchait son pénis pour se nettoyer. Après ça, je l'ai longuement remercié pour ce moment de PUR bonheur et je suis ressorti. Et je l'ai refait plusieurs fois avec lui.

 

Malheureusement, il n'est plus de ce monde. Je suis celui qui a le plus pleuré après sa disparition.

Par Elektrow - Publié dans : Textes divers - Communauté : Zoo en fête
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Lundi 13 juin 1 13 /06 /Juin 08:24

Plus j'y réfléchis, plus j'ai la certitude que les soi-disant argument massue de la question du consentement est dans ce cas-ci sorti de son contexte. La raison est que logiquement, on ne devrait même pas se poser la question, puisque si le consentement est absent d'un côté, toute relation sexuelle devient de facto techniquement impossible (sinon fatale pour au moins un des deux protagonistes), c'est aussi simple que ça. Certes, je trouve plutôt bien qu'on se pose la question, pour autant qu'on aie pour optique que l'animal ne souffre pas, mais dans les faits, on vise rarement ce but-là, puisque la question est abordée non pas sous l'angle du bien-être animal, mais sous celui de la morale humaine. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle on n'invoque que cet argument, puisque les gens sont tellement dégoûtés et horrifiés par cette pratique "immorale" qu'ils ne chercheront pas plus loin, un simple dégoût personnel, quoi. Or il est avéré que le dégoût est le propre de l'homme (au contraire du rire) et qu'aucune autre espèce animale ne s'encombre de cette morale vaine et stupide, ce qui fait que toutes les pratiques sexuelles se retrouvent dans la nature, y compris le viol (ce qui prouve qu'il y a des situation de non-viol, donc de...consentement mutuel !). Sans vouloir justifier en aucune façon le viol humain, ça indique que la question du consentement est abordée dans un angle inadéquat et en parfaite contradiction avec la psychologie animale.

 

La question n'est donc pas tellement de savoir si ils sont consentants (puisqu'elle est déjà réglée) mais de savoir si ils sont forcés et si ils en souffrent. Parce que si on se limite à la question du consentement, on déplore par la même occasion les relations sexuelles obtenues par un apprentissage où par soumission du chien, alors qu'il est tout à fait possible que ces dernières ne le perturbent aucunement et ne le font même pas souffrir même si l'apprentissage me semble un peu égoïste, ça ne veut pas forcément dire qu'il le vivra mal.

 

Il est fort probable que cet argument massue est systématiquement ressorti pour ne pas devoir admettre que ça ne fait pas forcément souffrir, alors que si ils étaient -comme ils l'affirment- réellement focalisés sur l'animal, ils se poseraient la question, comme l'a très bien fait l'OAD.

Par Skippy - Publié dans : Mes arguments - Communauté : Zoo en fête
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Dimanche 12 juin 7 12 /06 /Juin 23:32

Je vais vous montrer une petite vidéo. Non pas comme celles qu'on voit habituellement sur le net où un cheval "éjacule" des tonnes de faux sperme (eh oui, c'est truqué !). Non, je vais vous montrer une VRAIE éjaculation équine, après qu'il se soit masturbé par contractions successives de son sexe (il faut dire qu'il n'a pas des masses d'autres moyens). Je dois dire que c'est assez agréable à regarder.

 

La vidéo

Par Skippy - Publié dans : Autres images/vidéos
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Samedi 11 juin 6 11 /06 /Juin 18:23

Comme l'affirme la spécialiste interviewée à la fin de cette vidéo, la mise à l'index de la zoophilie est -officiellement- motivée par une prise en considération des animaux, ces derniers étant considérés comme des "victimes".

ça semble être une habitude des associations de protection de victimiser leurs protégés, car ça ne se limite pas aux animaux (je vous donnerais bien un exemple, mais je n'ai pas envie de digresser). Ainsi, on les victimise à outrance, à tel point que ça en devient abusif et inadéquat, puisqu'on les considère victimes de choses qui en réalité ne leur font rien de mal. Soyons clairs, le fait de considérer leur bien-être comme primordial et y accorder la plus haute importance, c'est en soi une bonne chose, mais victimiser à outrance et s'en servir pour discriminer, c'est proprement inadéquat, et ça ne rend pas vraiment service à ceux qu'on défend.

 

Si la seule association pro-zoophile que je connaisse s'appelle Equality for all (égalité pour tous), ce n'est pas un hasard. En effet, leur page d'accueil est sans équivoque: même si à première vue, on se serait cru sur un site écolo, leur idéologie reflète très bien l'état d'esprit de la plupart des zoosexuels: l'égalité entre les espèces, y compris sexuelle. Et autant dire que les APA en sont loin: ils victimisent un côté et calomnient l'autre. Chez la plupart des zoosexuels, c'est différent puisqu'ils affirment (et je suis bien placé pour les croire sur parole) considérer leur partenaire comme égal à eux-mêmes et qui n'est pas plus dépourvu d'un point de vue spirituel.

 

Ce n'est pas non plus pour rien que le code éthique de ZETA préconise de leur donner le respect qu'on aimerait recevoir. Ceci expliquant cela, dans une relation zoosexuelle saine et authentique, on considère notre partenaire animal avec un respect identique à celui qu'on s'accorde à soi-même.

 

D'ailleurs, si on a réellement de la considération pour les animaux, on est censé savoir ce qui leur fait du mal et ce qui ne leur en fait pas. Tout déséquilibre dans un sens comme dans l'autre pourrait lui être dommageable.

 

Pour terminer, j'en reviens à cette vidéo, réalisée par une association américaine défendant la possession d'animaux exotiques chez soi. Bien que je ne sois pas en mesure de dire si c'est une cause défendable où non, j'apprécie tout particulièrement leur état d'esprit. Ainsi, à la fin de la vidéo, on peut lire "Pas tous les possesseurs et gros félins peuvent atteindre ce niveau de confiance. ça demande beaucoup de temps, d'entraînement, de compréhension et des gros félins bien disposés. Tout comme les humains, les félins exotiques ont différentes personnalités et dispositions". à en croire cette déclaration, si leur but est de défendre les possesseurs d'animaux exotiques, ces derniers ne sont pas oubliés puisque le fait de leur attribuer une personnalité indique une réelle prise en considération. En somme, un bel exemple d'équilibre.

 

Conclusion: condamner toute relation zoosexuelle n'a aucun sens, et la prise en considération de l'humain n'est pas incompatible avec une prise en considération du bien-être, des envies et des besoins de l'animal. D'ailleurs, les "modes d'emploi" (pour autant qu'on puisse les appeler ainsi) disent unanimement qu'une bonne relation zoosexuelle doit être satisfaisante tant pour l'humain que le partenaire animal. C'est donc clair comme de l'eau de roche.

Par Skippy - Publié dans : Pour info - Communauté : Zoo en fête
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Vendredi 10 juin 5 10 /06 /Juin 22:22

Cet article est issu de zoophile.net, même si je doute franchement que l'un d'entre-vous aie envie de concrétiser cela.

 

Comment approcher un gros félin ?

à première vue, les gros félins sont des prédateurs: sauvages, impondérable, dangereux; et d'un autre point de vue, ce sont des créatures sociables: attentionnés, tendres, aimants. Quel est le bon ?

Les deux. Il est déjà arrivé qu'un gros félin tue un homme, et j'en connais qui vivent dans la société humaine, par exemple, dans des maisons, des zoos (note du traducteur: Jardin zoologique, bien sûr) ou des cirques. Resultat: Un gros félin ne tue jamais sans raison rationnelle, il peut être aussi tendre qu'un chien, pas plus dangereux qu'un chat, juste plus gros. Vous devez être conscient des risques si vous approchez des gros félins. Je décline toute responsabilité de votre mort possible!

Peu importe que ce soit un mâle où une femelle que vous approchiez, vous devrez tout d'abord gagner sa confiance; un animal dont vous avez la confiance ne vous blessera pas.

Sitôt que vous en avez la capacité, essayez de caresser ses parties génitales, il vous laissera peut-être continuer. Le male appréciera que vous lui touchiez les testicules tout comme une femelle appréciera que vous lui massez le clitoris. En tant qu'apogée, vous utiliserez votre bouche pour apporter à votre amant le plus intense orgasme.

Comment faire me faire l'amour par un gros félin ?

Faire l'amour avec un gros félin peut être très dangereux. Vous devrez vous couvrir des effluves d'accouplement. Dans une relation de confiance, vous pouvez pénétrer une femelle sans difficulté, mais si un mâle vous monte, vous devrez vous protéger et faire en sorte qu'il ne vous morde pas..

 

Bonne chance !

 

Sympathique, tout ça.

Par Skippy - Publié dans : Textes divers - Communauté : Zoo en fête
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