Mercredi 31 mars 3 31 /03 /Mars 14:04

Cette vidéo est fort intéressante bien qu'elle soit en anglais (relativement compréhensible toutefois) et résume bien quelques articles de mon blog.

 

Par moi587 - Publié dans : Mes arguments
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Mardi 30 mars 2 30 /03 /Mars 13:08
Il y a quelques temps, j'ai découvert un site fort intéressant: il s'agit de animalzoofrance. C'est un site structuré comme wikipédia et qui fournit des informations très poussées sur la zoo et peut s'adresser à n'importe qui qui désirent se renseigner là-dessus, et où le lecteur ne doit pas forcément défendre la cause pro- où anti-zoo. Intéressons-nous donc aux argumentaires pro-. Voici un exemple:

Petit guide de la zoophilie

A travers les nombreux débats qui ont lieu sur des forums traitant de la protection animale, ou encore de la sexualité, certains amalgames reviennent souvent. Ce petit guide a donc été créé pour décomposer la zoophilie, afin de montrer ce qui est acceptable ou pas.

La zoophilie est quelque chose de complexe, et chaque fois que dans une discussion, des personnes disent "il faut interdire la zoophilie" ou encore "la zoophilie ne me dérange pas", cela induit des sous entendus qu'il convient d'expliciter.


La loi

Déjà vis à vis de la loi : On ne peut militer ni pour l'autorisation, ni pour l'interdiction de la zoophilie : La zoophilie, c'est, par extension, une relation mettant en jeu un être humain et un animal.
Il faut donc déjà diviser ces pratiques en deux groupes, suivant si l'animal est actif (c'est à dire qu'il pénètre) ou passif (c'est à dire qu'il est pénétré). On voit déjà que l'acceptation ou non de cette pratique dépend beaucoup du cas de figure : un homme qui pénètre une chienne n'est pas la même chose qu'un chien pénétrant une femme, ou un homme.

Il faut ensuite distinguer, au sein de ces deux groupes, le type de l'animal. Par popularité, on trouve donc les chiens, les poneys, les chevaux, les chevaux de trait, les vaches, les chèvres...

On commence à s'apercevoir que parler de "LA zoophilie" n'a pas beaucoup de sens.


L'aspect physique

Parmi toutes les combinaisons (non exhaustives) offertes ici, on voit de suite, sans parler loi, morale, éthique, mais simplement en parlant de physique, que certaines relations peuvent nuire à l'animal, d'autres non, et d'autres sont tangentes.
Par exemple, un chien qui pénètre, cela ne pose aucun soucis d'ordre physique. Un homme qui pénètre une jument de trait non plus (il n'y a qu'à comparer la taille d'un pénis de cheval et humain).

La plupart des cas qui posent problème sont : un homme pénétrant une chienne (ou ne parle pas ici de teckel, ce cas est trivial), un homme pénétrant un poney ou une ponette. Pour le cas de ponettes, il suffit ici encore de comparer la taille du pénis humain et celui d'un poney. La réponse est de suite trouvée : une ponette ne peut pas souffrir d'une telle relation. Par contre, il en est autrement dans le cas d'un acte de sodomie d'un homme sur un poney/ponette. Ce cas est beaucoup moins trivial. Pour répondre à ces questions, pour lesquelles aucune étude n'existe, nous avons mis en place une page dédiée aux pratiques de l'élevage.
Par exemple, pour le cas d'un acte de sodomie sur une jument, nous savons que les éleveurs enfoncent leur bras dans le rectum des jument pour effectuer une échographie de la jument (cet acte n'est légalement autorisé que pour les vétérinaires, mais il est connu, dans le monde de l'élevage, que les éleveurs pratiquent cet acte eux même, afin de réduire les coûts et de maximiser les saillies et donc les produits). S'il est toléré d'enfoncer un bras dans le rectum d'une jument, l'introduction d'un pénis humain ne doit donc pas poser problème.
Nous n'avons, à ce jour, aucune donnée sur cet acte concernant l'échographie des ponettes.


L'aspect moral, éthique et la découverte de la zoophilie

Un débat avec un détracteur de LA zoophilie (ie de TOUS les actes) se passe, la plupart du temps, de la même façon. D'abord la personne va critiquer sans réfléchir (c'est immoral, c'est un viol, c'est de la torture). De là, on explique que ce n'est pas aussi simple, et que dans le cas d'un chien qui pénètre une femme, l'animal n'est pas abusé, ni violé, ni torturé.
Là, deux arguments émanent généralement de la personne anti-zoophile : soit elle explique que, de toute façon, c'est immoral, contre nature, et qu'il faut quand même enfermer les zoophiles, ou alors elle explique que, même si le chien pénètre la femme, a une érection, a l'air demandeur, c'est que en fait la femme amène le chien à agir contre sa volonté : même si le chien a l'air demandeur, il n'en est rien, il agit contre sa volonté, poussé par ses hormones.
En ce qui concerne donc l'argument moral et éthique : il existe plusieurs morales : la morale de la société, et la morale de l'individu.
La morale de la société est en fait la morale de la majorité des gens. Actuellement, en France, il s'agit donc d'une morale issue de la religion. Inutile donc de dire que, pour la plupart des gens, avoir une relation avec un animal, est quelque chose de choquant, d'immoral, de pervers, etc... C'est dommage, mais il n'y a pas possibilité de répondre à ce genre d'arguments. La loi reposant bien souvent sur la morale à un temps donné, c'est triste, mais on enferme les zoophiles en prison à cause de la pensée de la majorité.
Il y a ensuite la morale de l'individu. Chaque personne a son expérience de la vie, de la société, qui lui est propre. Pour certaines personnes, caresser un animal près du fourreau ne pose aucun soucis, pour d'autres, il existe des inhibitions qui vont lui interdire cette zone (éducation, religion...). Pour d'autres, ils seront persuadés de faire plaisir à l'animal, et n'auront aucune gène à caresser l'animal à cet endroit. De fil en aiguille, et avec le même raisonnement logique, la caresse peut aller jusqu'à masturber l'animal (la plupart des zoophiles ont découvert les relations sexuelles avec les animaux de cette façon), toujours pour lui faire plaisir, pour voir sa réaction.
Ce cas est à opposer au cas des personnes qui, de plus en plus souvent, ont envie d'essayer la zoophilie, parce qu'ils ont vu une vidéo ou des images pornographiques, de la même façon qu'ils ont envie d'avoir une expérience homosexuelle ou sadomasochiste.


La zoophilie, le fantasmeur et le matteur


D'abord d'une façon subjective. La zoophilie, inutile de le démontrer, souffre d'une mauvaise image, underground, associée aux pratiques sado-masochistes.
Nous avons été amené à le constater lors de l'analyse d'un texte incitant les personnes de la protection animalière à signer une pétition anti-zoophilie. Le principe est simple : on explique que la zoophilie est utilisée par des sadomasochistes pour soumettre des femmes et des enfants, et que donc, la zoophilie est semblable à de la zoophilie. Donc non, il s'agit de viol et non de zoophilie.
De la même façon, voici une annonce type, ci contre, trouvée sur un forum spécialisé, de ces pratiques sado-masochistes.
On est loin du zoophile, qui vit dans un pavillon avec son chien ou son cheval. Il faut aborder ce sujet de deux façons différentes.

A première vu, concernant la personne qui recherche, rien ne nous dit si elle connait les chiens ou pas. Supposons le pire des cas : elle n'y connait rien, idem pour son "maitre", qui a ce fantasme de voir sa "soumise" être prise par un chien, ou encore faire une fellation à un cheval.
La seule chose qui intéresse ce couple dominant/soumis est le coté rapport sexuel avec un animal. Quel animal ? Peut importe, c'est l'aspect bestial qui est en jeu. C'est ce coté qui choque le plus le lecteur non zoophile, et c'est cet aspect qu'il va retenir.
On voit, en fin d'annonce, une personne qui explique son fantasme : "voir une joliefemme faire une fellation à un cheval". 
Visiblement, les personnes qui recherchent n'ont pas un grand intérêt envers l'animal en lui même (peu importe l'animal, tant qu'il sait grimper).
Mais là aussi : pour la personne qui propose, peu importe l'animal. Il explique tout d'abord son fantasme, qui inclue les termes "jolie femme". Ça en dit long, cette personne n'est pas non plus zoophile, elle ne pratique pas avec son cheval, mais souhaite voir une "jolie femme" se laisser aller avec son étalon. C'est un fantasmeur, ou un matteur.
Il en résulte, subjectivement, un étalage de chaire, où l'animal est considéré comme un sextoy, un vulgaire objet qui se marchande "tu cherches ça ? j'ai ça, ça t'intéresse ?".
D'un point de vue subjectif, c'est une triste image pour la zoophilie qui découle de ce genre de personnes et de recherche (cette annonce a été postée sur un forum qui se dit zoophile mais dont l'administrateur n'est pas zoophile, il collectionne les vidéos porno-zoo et son fantasme est que sa femme se laisse aller avec un chien).

Mais, de façon objective (passé le coté "étalage de chaire"), si on imagine le scénario du coté animal, cette fois ci, on y trouve quoi ?
Oui l'animal est considéré uniquement pour son pénis. Et ? Si on essaie de se faire l'avocat du diable, on peut arriver à ces conclusions, certes rapides, mais pas forcément irréelles : 
Ce couple sado-masochiste aurait pu adopter un chien. Seul son pénis les intéressants, aucune conclusion sur l'entretient du chien peut être avancée, mais dans le pire des cas (le coté affectif n'ayant pas été mis en avant dans l'annonce), tout porte à croire que le chien ne sera pas plus entretenu que ça.
L'avantage de cette annonce, c'est qu'elle porte sur une personne qui a un chien, donc, on peut supposer que dans ce cas, le propriétaire, lui, apporte le coté affectif à l'animal.
Si la chose se concrétise, si le couple trouve un maitre avec un chien, il y aura ce qu'il y aura, ça ne sera pas rude pour le chien (il s'agit d'un chien mâle), au pire la femme lui fera une fellation, que le chien acceptera ou pas (tous ne l'acceptent pas), mais, objectivement, on ne peut pas parler d'expérience traumatisante pour l'animal (il n'existe aucune analyse des conséquences de ces actes sur les chiens, et, vue comment le chien a l'air content dans ce genre de situation, aussi content que lorsqu'on souhaite lui faire faire une balade, on peut supposer qu'il est consentant).
Ici, la personne qui répond a un cheval. De la même façon, pour posséder un cheval, il faut un minimum d'intérêt pour l'animal en lui même (coté affectif). 
Il n'est pas imaginable, et pas possible, ormis dans l'imaginaire des détracteurs de la zoophilie), d'avoir un cheval uniquement pour le coté sexuel, sans un minimum de coté affectif et de bon soins. 
On peu donc supposer que, pour le cheval aussi, qu'une femme lui fasse une fellation (encore faut il que le maitre sache comment faire que le cheval ai une érection, preuve encore que le propriétaire connait bien son animal) ne peut pas constituer de maltraitance (voir le cas du président de l'Association Belge des Chevaux Miniatures qui, il y a quelques années, a été arrété pour avoir organisé des soirées poney/zoophilie en invitant des dames. Le juge a condamné l'homme, mais aucune poursuite n'a été prononcée contre les femmes qui se faisaient grimper ou effectuaient des fellations au poneys).
Au pire, imaginons que cela ne soit pas agréable pour le cheval, il s'agit d'un désagrément sur une courte période de temps, qui sera assimilé, par le cheval, à une période de travail, comme le fait d'être monté, longé, ou pansé (le nettoyage du fourreau est une tâche qui doit effectuée chez le cheval).


Donc, objectivement, il n'y aura pas de séquelles physiques pour ces animaux, mâles, dans ce genre d'annonce, une fois supposé que le lien entre "propriétaire" et animal soit, lui, complet (l'animal est bien entretenu, nourri, vacciné, reçoit le coté affectif, etc). Encore une fois, au pire, cette expérience pourra être considéré, par l'animal, comme un travail (parcours d'agility pour les chiens, ou pansage pour les chevaux).

Mais, subjectivement, ce que les non-zoophiles vont retenir, c'est uniquement le coté "viande", "objet", où l'animal n'a aucune considération autre que sexuelle.
Il est, hélas, à noter également que les zoophiles, qui vivent avec leur animaux, ne recherchent rien, ils ne sont donc pas présents sur le web, et au final, les seules personnes visibles sont celles qui recherchent ce genre de rapport sexuel. Faut il inciter les zoophiles à venir se représenter sur le web ou inciter ces personnes sado-masochistes et autres fantasmeurs à mettre un frein sur leurs recherches, sous prétexte qu'elles nuisent à l'image de la zoophilie ? Le débat reste ouvert, et encore aucune réponse n'a été trouvée.

Par moi587 - Publié dans : Mes arguments
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Lundi 29 mars 1 29 /03 /Mars 15:13
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Tel père, tel fils

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Par moi587 - Publié dans : Images cochonnes
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Lundi 29 mars 1 29 /03 /Mars 13:38
Bonne nouvelle: j'ai enfin trouvé une histoire zoo digne d'être publiée (bien que je la trouve assez soft). Je l'ai trouvée sur un site d'histoires érotiques. Attention, accrochez-vous bien: on entre tout de suite dans le vif du sujet et on n'en sort pas avant la fin.

Assez discuté et commençons l'histoire.

Maryse se frottait doucement le clitoris en pensant à Philippe. C’était l’été, et dans l’appartement il régnait une chaleur moite et étouffante. Elle essayait d’imaginer Philippe entre ses cuisses, la tête penchée vers sa vulve, en train de la lécher. Et elle fermait les yeux pour mieux rêvasser, pour ressentir sa langue le long de sa chatte, ses lèvres contre son bouton d’amour.

 

Philippe était un fringant étudiant d’université promis à un bel avenir. Ils se connaissaient depuis tout jeunes. Pour tout dire, ils avaient été à l’école primaire ensemble. Ensuite, leurs chemins avaient divergé et, tandis que lui poursuivait de brillantes études, elle s’était retrouvée, de son côté, à remplir les rayons dans un supermarché. Mais depuis toujours, elle flashait sur ce beau mec et, depuis toujours, elle espérait qu’un jour ils seraient vraiment ensemble pour de bon.

 

Un jour qu’ils étaient, lui, elle et deux anciens copains du collège, en train de discuter au troquet, il avait bu un peu trop de bière et était légèrement éméché. Du coup, sa langue s’était déliée et il s’était mis à dire des insanités. Du style qu’il aimait bien les salopes, et que l’autre jour, justement, il en avait rencontré une belle, dans une boîte, et qu’elle avait voulu à tout prix qu’il la prenne sur le capot de sa voiture. Et il en avait profité, paraît-il, pour la prendre par derrière et par le cul.

Ce disant, il regardait Maryse, en riant et en reluquant vicieusement sa poitrine, semblant signifier par là : « Toi aussi, tu dois être une sacrée salope ». Mais elle ne lui en tint pas rigueur. Elle lui pardonnait toujours toutes ses incartades. Et elle voulait bien être SA salope à lui, elle voulait bien être sa chienne, si c’est ce qu’il désirait.

 

Le seul réel problème, c’est que lui ne se décidait jamais…

 

— Humm ouiii, gémit-elle entre deux caresses.

 

De son côté, elle avait toujours la chatte en feu et ne pensait qu’à leurs hypothétiques étreintes !

 

Elle en était là dans ses réflexions quand Démon, le jeune berger allemand de la maison, fit irruption dans la chambre. Situation délicate puisqu’elle était en train de se masturber, allongée nue sur le lit et sans petite culotte. L’animal fit le tour du canapé et vint s’asseoir tout près d’elle en la regardant. Elle s’arrêta un instant, pour lui caresser doucement la tête, espérant qu’après ce geste affectueux il allait repartir sagement et la laisser tranquille. Malheureusement, ce ne fut pas le cas. Il resta là, à l’arrêt, juste devant elle, à la reluquer en tirant une langue avide.

 

Mais ce n’était après tout qu’un chien et qu’importe s’il la voyait la main dans la culotte. De toute façon il ne dirait rien à personne. Aussi reprit-elle ses caresses, insistant un peu plus sur ses seins aux durs tétons dressés. Sa poitrine était assez forte, bien galbée, bien pleine et très gracieuse, c’était probablement la partie qui avait été le mieux réussie dans son anatomie. Une main sur ses seins et l’autre sur son pubis, elle recommença à se caresser, en pensant à Philippe, en s’imaginant même à la place de cette jeune fille facile qu’il avait outrageusement sodomisée sur un parking.

 

— Humm, ouiii, Philippe, vas-y, encule-moi aussi.

 

Elle était vraiment prête à tout lui donner.

 

Soudain, Démon se redressa en aboyant. Surprise, elle le caressa à nouveau en lui intimant l’ordre de se recoucher. Mais il se dégagea et entreprit de lui lécher les doigts, ses doigts qui devaient, à coup sûr, sentir la mouille. Une sensation étrange…

 

 

Déjà le jeune chien avait posé ses pattes sur le lit et était en train de renifler son corps, ses aisselles et ses seins. Et bientôt elle sentit la langue râpeuse de l’animal sur ses nichons… De nouveau, sensation étrange… Mais agréable ! Serait-ce ainsi lorsque Philippe lui lècherait les seins ? Non, certainement pas, ce serait encore bien mieux, car là, ce n’était qu’un animal. Elle voulut alors repousser Démon, mais l’animal revenait sans cesse à la charge et ne répondait plus à ses injonctions. Il lui montra même les dents lorsqu’elle se montra un peu trop agressive.

 

Désormais, il lapait ses seins et bavait sur son ventre, elle ne contrôlait plus très bien la situation. Mais, malgré la peur provoquée par cette situation cocasse, elle était malgré tout excitée, très excitée d’ailleurs. Et la langue rugueuse de l’animal sur ses tétons lui procurait un plaisir qu’elle n’arrivait plus à nier. Une dernière fois elle essaya de l’arrêter, mais il n’y avait rien à faire…

 

Il aurait fallu se lever et s’en aller. Elle aurait pu le faire, mais elle ne s’en sentait pas le courage… en avait-elle d’ailleurs envie ? Et puis, après tout, ce n’était pas bien grave. Même lorsque l’animal vint avec sa langue jusqu’à son vagin, pour le laper… Ce n’était pas en soi une catastrophe.

 

Oui, c’était là que ça sentait bon, c’était là que ça se passait : il le savait et en était, visiblement, particulièrement excité. Et à Maryse, ces coups de langue faisaient un bien fou, un bien insensé, c’était beaucoup mieux qu’avec ses propres doigts, cette grande langue humide qui la léchait partout avec vivacité, c’était divinement bon. Toute cette bave aussi, mélangée à sa mouille. Le chien lapait partout, indistinctement, ses cuisses, sa chatte, son clito, son anus… Elle écarta encore plus les jambes, pour mieux le laisser faire… D’être ainsi dévorée lui donnait des sensations partout et pas uniquement dans son entrecuisse. Des frissons zébraient tout son corps de jeune femme avide.

 

C’était tellement bon qu’elle en voulait encore plus. Elle avait complètement oublié qu’il s’agissait d’un animal et pensait être aux mains d’un redoutable amant. Elle ne pensait même plus à Philippe, juste à cette langue qui lui provoquait un tel plaisir ! Elle était déjà presque au bord de l’orgasme. Ça arrivait, très fort entre ses cuisses, très fort et très profond, du plus profond de ses entrailles, une série de spasmes incontrôlables qui la firent couiner comme une truie. Un flot de mouille s’écoula alors de sa chatte en se mêlant à la bave de l’animal, un torrent tellement tumultueux qu’elle eut l’impression, un instant, d’être en train d’uriner sur le lit.

 

Démon profita de sa jouissance pour carrément sauter sur la couche. À quatre pattes au-dessus d’elle, il continuait à laper de plus belle, semblant apprécier au plus haut point l’odeur forte de son liquide intime. Et c’est là qu’elle s’aperçut qu’il était, lui aussi, excité, son vit était en partie sorti de sa gaine. Elle regarda, médusée, c’était la première fois qu’elle voyait d’aussi près le pénis d’un chien en érection.

 

Et, alors que cela ne se fait pas, que c’est inconvenant et incorrect, éventuellement sacrilège, elle eut tout de suite envie de toucher ce sexe bestial. «Humm», et lui qui continuait à lécher sa mouille… Elle cambra même ses reins pour aller au-devant de cette langue. Puis, se tournant lentement sur le lit pour être légèrement en 69 vis-à-vis de la bête, elle tendit sa main vers le braquemart de l’animal. Après tout, n’avait-il pas droit, lui aussi, à sa part de plaisir ?

 

Elle caressait doucement le pénis du jeune chien, s’attardant sur ses couilles, revenant sur sa trique. Il avait l’air d’apprécier cette attention et son engin gonflait encore un peu plus. Un pénis bien rouge, bien long, qu’elle essayait de caresser au mieux dans l’espoir de lui donner du plaisir. Elle le branlait désormais, fascinée par ce beau vit, approchant peu à peu son visage de la trique. «Non, il ne fallait pas, c’était dégueulasse…» Mais peu importe, elle en avait vraiment envie, envie de lécher tout ça, envie de lécher partout, de lui rendre la pareille… Et la voici qui était en train de sucer cette bite de chien. Loin de la dégoûter, ce goût fort dans sa bouche ne faisait que l’exciter encore plus. Elle avait envie qu’il la baise, elle désirait être sa chienne, elle voulait qu’il la baise comme une chienne.

 

Elle prit donc l’initiative de se mettre à quatre pattes pour se faire saillir par l’animal. Celui-ci comprit tout de suite les intentions de sa maîtresse et monta naturellement sur elle, en cherchant maladroitement son chaton. Elle sentait le dard de l’animal frotter contre ses cuisses, elle n’attendait qu’une chose, c’est qu’il s’enfonce en elle, mais il était à côté et avait besoin d’aide. Aussi elle le saisit entre ses doigts et le guida vers son trou béant.

 

C’était plus gros et plus long qu’elle ne l’aurait imaginé de prime abord et elle eut un peu de mal à l’enfoncer en elle. Mais une fois bien calé dans son fourreau, les pattes sur son dos, elle sentit qu’il la grimpait. Et elle aimait ça, se faire prendre par cette bête. Elle adorait ça, cette sensation d’être aussi dépravée, son excitation était à son comble, elle se tortillait de plaisir.

 

Chaque poussée du chien la faisait partir un peu plus, le pénis de l’animal était en train d’éclater sa vulve, de l’exploser. Ça lui donnait envie de frotter le clito avec son autre main. Elle se l’astiqua à s’en faire mal, tellement elle se sentait lubrique. Elle n’en pouvait plus, c’était trop bon, trop fort, trop puissant… Soudain, elle sentit le liquide s’écouler en elle, lui remplir le vagin, des jets saccadés qui lui éclaboussèrent les entrailles… La semence étrangère, ultime signe de sa perversité…

 

Et là, ainsi collée à l’animal, n’importe qui aurait bien pu arriver, elle s’en moquait, elle s’en foutait, c’était vraiment trop bon d’avoir ainsi été saillie comme une jeune chienne…

 

Puisse Philippe être admiratif devant sa perversité. Mais au pire, en cas de rejet de sa part, il lui resterait toujours son amant canin, et elle pourrait s’en satisfaire.

Par moi587 - Publié dans : Textes divers
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Dimanche 28 mars 7 28 /03 /Mars 14:29

Erog a l'avantage non négligeable de fournir des statistiques très poussées sur l'origine des visiteurs. Ainsi, je peux par exemple voir ce qu'un utilisateur a recherché sur google pour avoir mon blog dans les résultats et finalement cliquer dessus. Cela m'a permis de savoir que beaucoup de mes visiteurs étaient à la recherche d'histoires zoo. Malheureusement, lobby oblige, de telles histoires sont difficiles à trouver. à une époque, après de longues recherches, j'en avais trouvé 3 sur un site aujourd'hui fermé. Malheureusement, aucune des 3 histoires n'avait une qualité quelconque. La première mettait en scène un viol, la deuxième aurait pu être bien si elle n'avait pas été trop courte, et la troisième mettait en scène de l'inceste et exagérait dans la coprolalie. Il y a bien quelques histoires de ce genre sur Vassilia, mais elles sont toutes d'une banalité affligeante (enfin, façon de parler), car elles mettaient toutes en scène des chiens, les relations décrites n'étaient pas des vraies relations: les protagonistes se mettaient de la nourriture sur le sexe afin que le chien vienne le lécher. De plus, les histoires étaient rarement zoo exclusive, un autre type de sexualité venant systématiquement gâcher le tout.
Bref si vous voulez des histoires de ce genre, il faudra attendre car je cherche toujours. 

Par moi587 - Publié dans : Textes divers
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