Mes arguments

Mardi 2 mars 2 02 /03 /Mars 16:01
Alors c'est là que l'on va commencer à distinguer zoophilie de bestialité. 

Mais prétendre que les animaux n'ont pas d'envie personnelle ni de but propre mis à part la préservation de l'espèce c'est renier les études les plus récentes sur leur comportement... 

L'instinct oui mais l'instinct seul n'explique pas tout. 

Par contre la question qui me gêne beaucoup plus c'est la notion de réflexe conditionné... 

Maintenant mon chien est plus demandeur que je ne le suis... simple réflexe ou envie de me saillir??? 

Le conscience du soi a été prouvée chez de nombreux animaux et pas seulement des mammifères... 

huphuphup barbatruc la démo inverse de celle cité par éco : 
Complexité de la conscience animale
 

À ma grande surprise initiale j'ai rencontré sur Vassilia des zoophiles qui aiment vraiment les animaux, leur animal. C'est un aspect que je n'avais jamais eu l'occasion d'approfondir et c'est eux qui m'en ont inspiré le besoin. Je les en remercie sincèrement. Et pour ta dernière réflexion, oui en effet, l'humain peut aimer sans sexualité...et de plus il peut aussi baiser sans amour. C'est pourquoi j'écrivais: "C'est peut-être d'ailleurs une caractéristique de l'humain de pouvoir dissocier génitalité et amour aussi bien que de pouvoir les associer.

 J'aurais du répondre plus tôt, vu que j'ai pratiqué durant des années (6) des rapports avec mon chien. Dans mon cas, il n'y a rien eu de sexuel entre nous pendant longtemps, c'est venu tout seul, et ce n'était pas que du sexe, de la copulation. 

Je l'aimais très fort, comme tous les chiens ou autres animaux que j'ai eu (lapin, cochon d'inde, chats, ect...) et le jour ou je l'ai senti excité, je l'ai naturellement "soulagé", sans réfléchir. Après est venu l'excitation et le plaisir et le jour ou il m'a pris comme une femelle, nos rapports ont changé. 

Mais même après une saillie, il restait près de moi, me léchait, je le caressait, on dormait souvent ensemble. Il était très demandeur et je me laissé faire presque à chaque fois. 

Il y avait de l'amour entre nous, même si pour un chien, c'était plus parce que j'étais celui qui le nourrissait et en même temps lui servait de "femelle". Contrairement à ce qu'on pourrait imaginer, il n'est pas devenu indiscipliné, au contraire il obéissait mieux qu'avant. 

6 années ou j'ai eu peu de rapports sexuels avec des "humains", 6 ans qui se sont mal terminés quand il est tombé malade (cancer des voies digestives), j'ai pris un crédit pour payer les frais de vétérinaire mais au bout de 3 mois, il n'y avait plus rien à faire. Après quelques mois de détresse totale, ou tout me rappelait mon chien, son panier, sa gamelle, l'armoire pleine de nourriture, de boites, j'ai finit par téléphoner à la SPA qui est venue tout emmener. 

Et c'est là la preuve du respect et des égards qu'ils ont vis-à-vis de l'animal et aussi la sincérité, de voire même de l'"humanité" de leur acte/pratique. L'animal n'est pas considéré comme un simple godemiché.
à méditer. 
Par moi587 - Publié dans : Mes arguments
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Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 21:31

Voici de nombreux clichés qui courent à propos de nous.

1) Ce sont des futurs pédophiles

Je pense que c'est l'argument le plus souvent invoqué à notre encontre ce raccourci saisissant disant "après les animaux, les enfants". Parfois, ils poussent même le vice jusqu'à dire que la majorité d'entre-eux cumulent les 2. Qu'en savent-ils, ils ont fait des statistiques ? En réalité, il n'y a aucune raison pour qu'on les cumule, pour la bonne et simple raison qu'elle n'ont rien à voir, si ce n'est le suffixe. La différence est que la pédophilie est condamnable car l'enfant n'est pas sexuellement mature ni apte à donner son consentement, tout le contraire de la zoo, quoi.

2) Ce sont des violeurs

Aucun argument ne m'énerve davantage que celui-ci. Si le chien n'est pas d'accord, il est parfaitement capable de se défendre, alors que si il n'impose aucune résistance, ça prouve quand même qu'il est d'accord. à ceux qui me disent qu'il ne peut pas donner son consentement, je leur répond qu'il ne peuvent effectivement pas le dire, mais il a tout de même d'autre moyens de communication, et quelqu'un qui a appris à y être réceptif peut bien déterminer si il exprime où non son consentement.

3) Ils n'ont aucun respect pour les animaux

Cette remarque n'est justifiée si elle ne s'adresse qu'aux zoosadiques, mais elle est en général adressée à tous les zoo, car il estiment qu'avoir une relation sexuelle avec son chien est d'office de la maltraitance. C'est encore une fois un raccourci facile, car c'est effectivement valable dans le cas de la zoo active (dans le cas où c'est le pénis humain qui est utilisé), mais pas dans la zoo passive (pénétration par le chien), qui par nature ne saurait pas s'effectuer avec de la maltraitance. Cet argument est d'autant plus faible si son auteur n'est pas végétarien, et pour ma part, je n'ai pas de conseils à recevoir sur le respect animal de la part d'un bouffeur de Mc Do (parce que c'est moins pire de les tuer et de les manger, peut-être).

4) Ce sont des malades mentaux

 Cet argument est systématique, avec sa variante où l'on souhaite la mort de la personne visée, alors qu'en réalité, ça ne fait que choquer la morale de leurs auteurs, qui argumentent toujours à l'aide de clichés. En résumé, ceux qui nous considèrent comme des monstres, en fait c'est eux les monstres. Stastiquement, les acteurs ayant tourné des scènes zoo se suicident plus que ceux qui font du porno conventionnel. Quand je vois ce qu'on dit d'eux, je ne suis pas étonné (à noter que dans certains pays, les homosexuels connaissent une situation similaire): si vous avez une attirance -vous ne l'avez donc pas choisie- et que pour cette raison on vous traite de sous déchet, la suite logique est que vous mettiez fin à vos jours tant la pression sociale est difficile à supporter (j'en sais quelque chose). à noter que si on souffre de cette même pression, c'est qu'on n'est pas si monstrueux que ça.

5) C'est contre-nature

Cet argument est utilisé abusivement (surtout par les intégristes religieux) pour qualifier les relations sexuelles non reproductrices, alors qu'on a démontré récemment que ce n'était pas le cas, y compris pour les relation inter-espèces (voir article).

Voilà, je pense en avoir fait le tour.

Par Skippy - Publié dans : Mes arguments
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Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 19:19

Voici également un contre-argumentaire avec lequel je suis 100% d'accord.

1) zoophilie = perversion, c'est le cliché de base concernant la zoophilie, pourtant toutes les études scientifiques tendent à démontrer le contraire (voir Cerrone, Master, Beetz ou weinberg)

 

2) taux de suicide plus important, même si j'aimerais connaitre les sources je suppose que c'est probablement vrai, mais d'après vous pourquoi? parce que les actrices en questions se sont dit "ho mon dieu je suis devenue une malade, je ne peux plus vivre comme ça, ou bien alors c'est sous la pression des gens comme toi C qui les humilient, les traite de monstres et vont jusqu'à parler de consolation en évoquant leur mort, en suggérant en plus que mourir ne suffise même pas à se faire pardonner?

 

3) zoophilie = bestialité, c'est faux, on distingue 4 termes différents:

 

-zoophilie, qui concerne une attirance PAS NÉCESSAIREMENT sexuelle envers les animaux, c'est donc une simple relation affective très forte, mais la plus part des zoophiles (en ce sens du terme) rejettent l'appellation zoophile car on lui attribue à tort la pratique sexuelle.

 

-zoo sexualité, qui englobe aussi bien l'attirance sexuelle que l'attirance sentimentale envers les animaux, c'est une orientation sexuelle au même titre que l'homosexualité ou la bisexualité.

 

-bestialité, qui décrit UNIQUEMENT un acte sexuel entre humain et animal

 

-zoo sadisme, qui, là, est bien une perversion car c'est comme son nom l'indique une forme de sadisme et ses auteurs tirent du plaisir non pas de l'acte sexuel mais de la souffrance de l'animal principalement, c'est une chose a laquelle une immense majorité de zoophiles est opposée.

 

4) O, c'est quoi une bonne santé mentale? être hétéro, avoir une femme, des gosses, un boulot et attendre la retraite? explique moi en quoi un zoophile est nécessairement malade? oui, ça choque un peu la morale populaire, c'est "contre nature" tout comme les homosexuels (au passage je précise qu'on compte en moyenne 20% de relations homosexuelles et 10% de relations inter-espèces dans le milieu naturel, c'est donc loin d'être contre nature) mais concrètement a part choquer ta morale à toi, sur quelle base morale tu condamnes la zoophilie?

 

5) C, toutes mes félicitations tu remportes la palme d'or du bon gros cliché bien gras, il manque juste la comparaison avec la pédophilie dans ton post pour qu'il soit parfaitement représentatif de l'opinion du français moyen. Sache tout d'abord que le viol est tout sauf une pratique courante des zoophiles, c'est un acte que l'on condamne. Ensuite ça te surprendra sans doute mais un animal n'a pas une sexualité naïve, ils ne se promènent pas joyeusement à bisounours land et croisent de temps en temps un partenaire avec qui ils vont s'accoupler les yeux fermés dans le noir en se disant "je fais ça pour perpétrer mon patrimoine génétique, rien d'autre, j'en suis parfaitement conscient, d'ailleurs j'ai un doctorat en biologie, je ne ressens aucune excitation sexuelle ni aucun plaisir dans ce que je suis en train de faire".

 

Alors effectivement ils ne sont pas doués de parole, ils ne peuvent pas dire clairement oui ou non, ils ne peuvent pas non plus porter plainte, mais de la à les considérer comme de pauvres petites créatures innocentes c'est leur manquer de respect tant tu les sous estimes.

 

Les animaux ont un mode de communication, parfois très évolué et parfaitement décryptable par quelqu'un qui a un minimum d'habitude à leur contact (ne venez pas dire que c'est faux, vous aller énerver des milliers de gens dont le métier est basé sur le comportementalisme et l'éthologie). Il est donc parfaitement possible de déterminer si un animal est consentant ou non a un acte sexuel et, crois le ou pas, les zoophiles respectent la volonté de leur animal.

 

Ensuite je suppose que tu te bases sur l'idée reçue N°6 comme quoi un acte sexuel est forcement douloureux pour un animal et là je ne peux que te plaindre si c'est la vision que tu as de la sexualité (car oui, l'être humain n'a pas le monopole du plaisir sexuel), au passage je trouve assez abérant qu'on parle de maltraitance quand quelqu'un a une relation sexuelle avec un animal, même quand il apparait clairement qu'il s'agit de zoosexualité et non de zoosadisme, et qu'en revanche quand les vétérinaires d'élevage nous explique que les méthodes de récoltes de semence chez le taureau (qui consiste quand même a l'immobiliser et lui insérer une électrode grosse comme un concombre dans l'anus avant de lui envoyer une série de décharges électriques) est complètement indolore et ne perturbe en rien l'animal, là ça ne choque personne et tout le monde gobe, c'est forcement vrai c'est un vétérinaire qui le dit!

 

Quand à ta réflexion sur le suicide, bravo, superbe démonstration de l'esprit bien pensant et de cette morale dont vous nous reprochez de manquer, c'est sur que désirer sexuellement des animaux c'est bien plus grave que souhaiter le suicide d'humains.

 

 

Premièrement: "la sexualité n'a pour but que la reproduction".

 

C'est effectivement exacte au sens strictement biologique du terme, mais est-ce bien une vérité absolue? en réduisant la sexualité à sa simple utilité, tu nie l'intérêt même de l'existence car après tout, si notre but est de suivre nos fonctions biologiques, alors nos vies devraient se résumer à se reproduire, se nourrir, boire et respirer.

 

Hors beaucoup d'entre vous savent au fond d'eux que ce n'est pas le cas, quand on mange on préfère un plat cuisiné à un animal crevé mangé cru, quand on vie, on a cette conviction en nous qui nous dit qu'on ne doit pas se contenter de se reproduire et de survivre, de même quand on a du sexe, n'en déplaise au pape, ce n'est pas systématiquement dans un but de procréation (c'est en tout cas tout le mal que je vous souhaite).

 

Je me répète donc en disant que l'être humain n'a pas le monopole de la sexualité ludique, les animaux aussi aiment le sexe et ils ne s'imposent pas toutes ces morales vaines que s'imposent les humains, cela ne pose aucune problème de conscience à un animal d'avoir une relation avec un humain.

 

Cet argument, "la sexualité ne sert qu'à se reproduire", je le connais bien et ce n'est finalement qu'une variante de l'argument "la zoophilie est contre-nature", ce à quoi je répète que dans la nature plus de 20% des relations sexuelles sont homosexuelles et 10% son inter-espèces, ce que l'on appelle "la nature" étant une interprétation du comportementalisme de la faune sauvage dans son ensemble, je ne vois pas comment on pourrait estimer que les animaux eux même sont contre nature puisque c'est une parfaite contradiction.

 

De plus si tu condamnes la Zoophilie au titre de son caractère "contre nature" alors tu condamne au MÊME TITRE les homosexuels, les rapports anaux, buccaux et toute pratique non procréatrice, notre vie sexuelle va en prendre un coup non?

 

D'ailleurs, tu l'auras remarqué, j'ai omis un terme volontairement: la fameuse pédophilie, symbolique de ton second argument: "si on tolère la zoophilie on va doit tout tolérer" plus connu sous l'argument "les zoophiles et les pédophiles c'est la même maladie".

 

Pourquoi je ne l'ai pas cité? et bien pour une logique bien simple: l'age moyen des premières menstruation chez une femelle humaine est de 12 ans, sa majorité sexuelle (légale) est a 16 ans, dans certains car (précoces) une femelle humaines peut être biologiquement féconde avant l'age de 10 ans.

 

De ce fait, un pédophile qui viole une gamine de 7ans, ça c'est déjà vu (est-ce utile de préciser que je ne soutiens pas ce genre de choses?) peut la mettre enceinte.

 

Dès lors, biologiquement parlant, ou est le mal? il s'agit d'une rapport sexuel entre male et femelle, de procréation non?

 

Tu vois en accusant les zoophiles de "contre nature" pour justifier leur rejet, non seulement tu te trompes dans l'essence même de tes accusations (puisque je viens d'expliquer que les relations inter-espèces font partie des comportements observés à l'état naturel) mais en plus tu autorises la pédophilie dans une certaine mesure (celle ou elle ne s'oppose pas à la "nature" du moment qu'elle donne lieu à une procréation).

 

Vois-tu donc cher admin, il n'y a à mes yeux qu'une seule forme de sexualité qui n'est pas tolérable: c'est le viol, et la pédophilie, à moins que tu ne saches me trouver, dans le contexte socioculturel qui est le nôtre, un enfant en bas âge qui est consentant à une pratique sexuelle avec un adulte (et je doute que tu puisses), c'est précisément du viol!

 

Tu utilises le terme "fantaisie" pour éviter celui de "perversité" comme si il ne s'agissait que d'une définition politiquement incorrecte d'un même mot, hors ces mots sont opposés, une fantaisie sexuelle c'est une attirance peu banale pratiquée dans le consentement de tous les participants, une perversité c'est un acte de viol, souvent dégradant, violent et surtout IMPOSÉ à une victime, c'est totalement contraire.

 

Si vous doutez encore des raisons pour lesquelles je proteste et que vous pensez que cet article n'est pas diffamatoire, faisons un petit test :

 

Rédigez le même article en remplaçant "zoophilie" par "homosexualité" et osez le valider, vous constaterez qu'à "perversion" égale les homosexuels bénéficient des droit de l'homme et un article semblable à leur sujet est passible de répression pour homophobie tandis que les zoophiles se font traiter de pervers, de malades, de tortionnaire d'animaux, on va même (comme c'est le cas ici) jusqu'à souhaiter leur suicide et, encore pire, ne pas s'en satisfaire! Mais dans ce cas de figure, c'est normal, ce n'est pas de la diffamation, l'état français considère probablement que c'est vrai.

 
Par Skippy - Publié dans : Mes arguments
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Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 12:25

Voilà qui démontra bon nombre de clichés.

« [...] la zoophilie est “biologiquement normale” et ne peut être considérée comme un acte “contre-nature”, une maladie ou un trouble psychologique. Car chez l'être humain, le but du comportement érotique est la recherche des plaisirs sexuels, nouveaux, variés et intenses. Pour les personnes qui ont régulièrement des activités sexuelles avec des animaux, c'est une préférence sexuelle, qui se forme au cours de la vie de la même manière que les préférences olfactives, musicales ou alimentaires.

 

De plus, autrefois, les êtres humains vivaient en contact étroit avec les animaux (nomades, bergers, cabane avec une seule pièce commune pour les hommes et les animaux …). L'animal était quelque chose d'habituel, de normal et d'intimement connu. La vie commune induisait une familiarisation avec les odeurs, les bruits, les formes et les mouvements des bêtes. La vie commune, en particulier depuis l'enfance, favorisait la formation de liens affectifs avec les animaux, et le caractère attachant des jeunes animaux ainsi que leurs actions volontaires vers les humains stimulaient l'attachement réciproque.

 

De surcroît, dans certaines sociétés il existe des croyances spirituelles où l'âme se réincarne dans des formes humaines ou animales. Dans certaines croyances magiques, les corps peuvent se transformer d'Homme en animal et vice versa. Dans ces deux cas, l'entité spirituelle – qui est la plus importante, puisqu'elle est l'essence de l'être – reste toujours la même ; ce n'est que l'enveloppe corporelle qui change. Dans ce cadre, l'union sexuelle d'un être humain et d'un animal correspond en fait à l'union d'entité de la même espèce. La zoophilie n'est alors qu'apparence.

 

 

Au niveau culturel, la zoophilie est acceptée dans certaines sociétés (indiens Hopi, Eskimo Copper, Kusaians, Masai, Riffians, Fez).

 

« La zoophilie est relativement commune chez les indiens Hopi. Les hommes ont des relations sexuelles avec des chiens, des chevaux, des ânes, des moutons et même des poules. »

La zoophilie est relativement fréquente dans le monde occidental rural, médiéval et moderne.

 

Enfin, pour encore montrer l'influence du contexte culturel, on observe que dans les sociétés occidentales du XXe siècle il est absolument normal et naturel pour un être humain d'avoir de nombreuses interactions affectives avec un animal domestique : il le soigne, parfois dort avec lui, le promène, parfois l'habille, lui parle, le nourrit de mets parfois coûteux, lui donne des droits juridiques, le défend contre la violence, milite pour le protéger et pour promouvoir son bien-être (même si l'animal finit surtout dans son assiette), parfois lui écrit des poèmes, s'attache à lui, joue avec lui, le caresse et parfois le serre contre lui, c'est-à-dire que l'homme occidental entretient “naturellement” avec l'animal tous les types possibles de relations affectives, sauf uniquement celles qui sont considérées dans sa culture comme “anormales” et “contre-nature” car “sexuelles”.

 

Toutes ces données éthnologiques, historiques et sociologiques montrent l'influence majeure des scénarios culturels, appris durant l'enfance et l'adolescence, qui indiquent dans chaque société les attitudes et les comportements que chaque personne doit avoir pour chaque type de situation. »

Par Skippy - Publié dans : Mes arguments
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Samedi 27 février 6 27 /02 /Fév 19:49

Un autre argument contre la zoo est que notre "compagnon" n'y trouve aucun plaisir et que chez lui, l'accouplement est purement "instinctif". C'est extrêmement réducteur de croire qu'un chien -par exemple- n'agit que selon des instincts. Ceux qui disent le contraire (y compris dans le monde scientifique) sont taxés d'athropomorphisme. Comme si l'humanité avait le monopole des émotions. Non seulement, il n'y a aucune raison à cela, mais en plus, ceux qui soutiennent cette argumentation sont vraiment aveugles. Je reprendrais ici l'argumentation trouvée dans un numéro de "30 millions d'amis": "on les considère incapable d'avoir des émotions en attribuant leur comportement à des instincts, alors qu'on peut leur attribuer l'agressivité, qui est bel et bien une émotion". Après tout, qu'est-ce qui empêcherait un chien d'aimer, voire de désirer son maître ?

Par moi587 - Publié dans : Mes arguments
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