Mes arguments

Lundi 12 avril 1 12 /04 /Avr 15:26

Sur le site animalzoofrance, on peut visualiser le script de cette vidéo. Voici donc une traduction de mon cru (je ne suis pas un pro).

Introduction à la bestialité et la zoophilie

Sexualité animale

Pendant des siècles, les gens croyaient que les animaux n'avaient de rapports sexuels que dans un but reproductif. Cependant, les études du comportement animal faites ces dernières décennies ont montré que cette croyance est loin d'être vraie.

Ainsi, des scènes montage et de pénétration anale ont pu être observés entre les bisons d'amérique.

Les couples homosexuels chez les dauphins adoptent également des comportements sexuels entre eux afin de stimuler les parties génitales pendant la recherche de partenaires sexuels du sexe opposé.

Plus évident: les enregistrements de kangourous mâles en train de se masturber en direct à la télévision.

Tous ces faits observés, et des dizaines d'autres, montrent que le principal motif des animaux pour adopter des comportements sexuels est de se sentir bien.

Pour comprendre la sexualité animale, il est utile de réaliser que les animaux peuvent consentir à des rapports sexuels non reproductifs. Certains pensent que comme ils ne sont pas doués d'un langage verbal, ils ne peuvent pas exprimer leur refus. Nous allons montrer que c'est faux.

Imaginez vous et votre partenaire dans votre lit et sur le point de passer à l'acte. Dans la plupart des couples, cela démarre habituellement par des baisers et des câlins, et une chose en amène une autre. Pensez-vous réellement qu'à ce stade il est nécéssaire d'exprimer de vive voix que vous consentez à avoir une relation sexuelle ?

La réponse est non.

Le langage corporel

Le comportement sexuel chez les animaux est piloté par le langage du corps. Les animaux et les humains peuvent montrer leur volonté d'avoir des rapports sexuels en agissant de manière lascive, et montrer leur refus en s'éloignant, en grognant où en agissant agressivement. Comme les adultes, les animaux ont leur propre "opinion" sur leur activité sexuelle et ils n'hésitent pas à le montrer.

Peu importe la vision de la sexualité que nous a imposé notre culture, les animaux se fichent de ce que nous pensons, et ils ont des rapports sexuels avec qui ils veulent et quand ils veulent.

Bestialité

La bestialité est le fait d'avoir une relation sexuelle avec un animal. Tout comme les rapports sexuels entre humains, Cela peut être: un "coup d'un soir", un accident, avec un partenaire de longue date, entre partenaires de sexe différents où du même sexe, enjoué, tendre, rude, mécanique, dominant, soumis, oral, pénétratif, masturbatoire, dangereux, récréatif, satisfaisant, affectif, etc...

Une relation pathologique est une relation physiquement et/où psychiquement destructrice pour soi-même où pour le partenaire. Toute tendance sexuelle peut entraîner dans une relation pathologique, depuis les fétiches les plus insolites jusqu'aux orientations sexuelles les plus communes. Pour juger équitablement d'un comportement sexuel, il faut faire une distinction entre la pathologie et la pathologie inhérente circonstancielle. Nous allons le montrer via quelques exemples.

Imaginons le cas d'un violeur. Un violeur est une personne qui force quelqu'un à un rapport sexuel sans le consentement de ce dernier.

Imaginons maintenant le cas d'un hétérosexuel. Un hétérosexuel est une personne qui a des rapports sexuels avec des gens du sexe opposé. On ne peut pas dire qu'un rapport hétérosexuel est nécéssairement destructeur. ça peut très bien l'être, comme ça peut aussi être sain et agréable. Le fait qu'un tel rapport soit où non destructeur dépend des circonstances.

Dans les dernières décennies, dans la recherche révolutionnaire pour la compréhension de la diversité sexuelle humaine, de nombreux médecins se sont heurtés à la bestialité, et on conclu d'après leurs observations qu'une relation sexuelle avec un animal peut être non traumatisante et gratifiant, tant sexuellement qu'émotionellement, tant pour l'homme que l'animal. La bestialité n'est pas intrinsèquement pathologique. Parfois, elle est même encouragée par les animaux eux-mêmes.

Zoophilie

Le mot "zoophilie" provient du grec ζώο et φιλíα, signifiant respectivement "animaux" et "amour". Littéralement, "zoophilie" signifie donc "amour" des animaux.

Etudions donc le sentiment amoureux.

Imaginons une personne retraitée qui s'occupe de son jardin. Elle est attachée à ses plantes et fait tout pour veiller à leur bien-être. Elle aime ses plantes. Quand on aime un être vivant, nous nous attendons à ce qu'il y soit réceptif et qu'il y soit sensible de manière positive.

Il existe plusieurs caractéristiques qui peuvent être fusionnées dans le sentiment amoureux. ça peut être le désir sexuel, l'engagement envers l'être aimé où la concordance intellectuelle. Cependant, aucune d'entre-elles n'est essentielle à l'amour, et ce y compris le comportement sexuel, car l'amour est le plus souvent une attraction affective.

 

La zoophilie au sens large, c'est le sentiment d'avoir un lien affectif particulier avec un animal, voire même une forte empathie envers eux, qui n'implique rien de sexuel en soi. En ce sens, toute personne qui se dit amoureuse des animaux est zoophile.

Dans un sens plus traditionnel, et ce pour la simple raison que les liens affectifs sont moins controversés que les liens affectifs avec comportement sexuel, la zoophilie est associée à l'amour des animaux, y compris sur le plan sexuel. Mais parce que, comme dit plus haut, le comportement sexuel n'a jamais été une exigence de l'amour, les gens qui sont familiers à ce sujet d'étude préféreront dans ce contexte utiliser un autre terme que "zoophilie".

Zoosexualité

Pour chacune des deux tendances mentionnées, il y a un groupe de personnes conduits par leurs interactions intentionnelles avec les animaux. Il y a les gens qui aiment les animaux (zoophiles), les éleveurs, les vétérinaires où les défenseurs des animaux, et il y a ceux qui ont des rapports sexuels avec eux (bestialistes), comme certains acteurs pornographiques, les fermiers ouverts d'esprit et les personnes qui se sont trouvées dans des situations qu'ils ont trouvé sexuellement excitantes avec un animal et qui ont répondu à l'appel du sexe à partir de là.

De plus, entre ces deux groupes, il y en a un troisième, celui des gens qui trouvent les animaux sexuellement attractifs. Cette situation a été nommée "zoosexualité" dans les années 80. Les zoosexuels ont tendance à avoir des rapports sexuels avec des animaux en même temps qu'un lien émotionnel spécifique avec les eux. Parce qu'ils ont ces deux tendances, il y a toujours un groupe plus petit que les deux autres indépendamment.

En usant de leur dualité, les zoosexuels trouvent des relations avec les animaux plus épanouissantes. Ils ont de l'affection pour leurs partenaires animaux, et ont tendance à les considérer comme des compagnons pour la vie, tout comme dans un couple humain stable. Ils se font eux-mêmes responsables de la couverture des besoins de leur partenaire animal, y compris le sexuel, mais pas obligatoirement. Dans ce genre de relation, les animaux deviennent très affectueux envers leur partenaire humain et aiment être avec eux.

Conflit actuel

Comme dit précédemment, toute relation peut être pathologique, cela dépend des circonstances, c'est également le cas pour les amoureux des animaux et les bestialistes.

Pour les amoureux des animaux, une relation pathologique apparaît lorsqu'ils possèdent un nombre anormalement élevé d'animaux de compagnie sans être capable de s'occuper d'eux. L'accaparement des animaux peut être destructeur pour eux.

Pour les gens ayant des rapports sexuels avec des animaux, une relation pathologique apparaît quand ces derniers sont forcés à avoir un rapport sexuel, où si ils ont un rapport sexuel suite à l'effet d'une drogue. Cette situation est également destructrice pour l'animal et pour soi-même et les relations de ce genre doivent être évitées.

Le grand malentendu à propos de la bestialité concerne le côté socio-légal. Certains états américains condamnent la bestialité, d'autres non. Mais pourquoi ? La bestialité est-elle pathologique dans certains états tout en ne l'étant plus quelques kilomètres plus loin que la frontière de ces mêmes états ? Ce fait est absurde et montre l'ignorance qu'il y a sur le sujet. Les états qui condamnent la bestialité le font par peur de ce qu'ils ne connaissent pas, alors que ceux qui ne la condamnent pas y sont totalement indifférents. Cette absence de réflexion provoque le chaos parmi les personnes impliquées, des relations sexuelles de longue date non pathologiques avec des animaux sont brisées à vie par la loi, alors que ceux qui se servent de poulets comme objets sexuels, leur causant par la même occasion une mort atroce, restent impunis.

Juger dans la confusion est préjudiciable à tous.

On ne peut pas juger équitablement ce qu'on ne comprend pas.

Si selon vous les relations sexuelles entre humains et animaux sont intrinsèquement malsaines, faites des vérifications, et si vos craintes s'avèrent erronées où dogmatiques, c'est peut-être parce que la bestialité n'est pas forcément mauvaise après tout, et la plupart du temps, n'est autre que de la tendresse entre une personne et ses animaux qui rend tous les individus heureux.

Pour plus d'informations sur la bestialité, la zoophilie où la zoosexualité, vous pouvez visiter le site suivant: http://fr.wikipedia.org/zoophilie.

Par moi587 - Publié dans : Mes arguments
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Samedi 10 avril 6 10 /04 /Avr 10:59

Finissons-en une fois pour toutes.

Pour la question "les animaux ont-ils du plaisir" la réponse est non, ils n'ont pas l'appareil génital "prévu" pour.

On peut démonter sans difficulté un tel raisonnement (très répandu) en citant cet article de wikipédia "La masturbation au sens large est une pratique sexuelle consistant à stimuler les parties génitales dans le but d'obtenir ou de donner du plaisir ; cette pratique a été observée chez nombreuses espèces, sauvages comme domestiques." Toutefois, un argument plus simple serait de leur demander ce que fait ce kangourou sinon se donner du plaisir..

http://sphotos.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-ash1/hs425.ash1/23545_1387798495540_1249394387_1119243_5701888_n.jpg

Le sexe chez les animals est uniquement pour et dans les periodes de reproduction.

D'abord, on ne dit pas "animals" mais "animaux", ensuite, ce n'est pas forcément vrai. Chez certains singes, ils font ça en permanence.

Si dans des photos ou vidéo tu vois un mâle en erection c'est uniquement une réaction.

Ben évidemment que c'est une réaction: à l'excitation, bien sûr.

Quand au femme qui se font pénétrer par un cheval, c'est complètement faux.

Certes, il existe beaucoup de fakes en la matière (encore que ces derniers soient facilement repérables), mais si on regarde de plus près de nombreuses photos/vidéos, on peut bien se rendre compte que ce n'est pas du faux.

Quand un cheval éjacule, sont glan à une circonférence de +/- 15 cm pour une longueur de 35 à 50 cm (comme un fist avec les deux poing rentrer, minimum, jusqu'au coude) imagine le résultat à l'intérieur du corps de la femme.

En général, quand l'éjaculation arrive, le gland sort directement du vagin de la femme.

être tolérant d'accord, maintenant pour un acte sexuel forçé sans demander son avis à l'autre et sans lui laisser le choix, les humains ont un mots pour le définir

Si on force un chien à faire quoi que ce soit, il ne se laissera pas faire, il est parfaitement capable de se défendre, y compris pour un acte sexuel. Il est donc tout à fait capable d'être consentant où non, et si il ne l'est pas vaut mieux pas insister, auquel cas on court de gros risques.

Par moi587 - Publié dans : Mes arguments
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Jeudi 8 avril 4 08 /04 /Avr 18:35

Je viens de découvrir un nouvel "argument" contre la zoo: ce serait vecteur de transmissions d'IST. Je me suis donc un peu informé sur le sujet en consultant cette page qui donne une liste détaillée des maladies pouvant se transmettre dans une telle relation. Voici ce qu'il en ressort:

1) Parmi les 12 maladies, seules 4 sont plus complexes à soigner.

2) Le risque de transmission est moins élevé que dans un rapport entre humains.

3) Si votre compagnon est en bonne santé, les risques sont quasi nuls.

Conclusion: cet argument ne vaut pas mieux que tous les autres.

Par moi587 - Publié dans : Mes arguments
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Jeudi 8 avril 4 08 /04 /Avr 11:52

En matière de sexualité, certaines personnes font preuve d'un aveuglement assez effarant. Un exemple: je viens tout juste de lire un "droit de réponse" de l'église sur les accusations d'homophobie qu'on lui faisait. Qu'ils cherchent à se défendre, c'est normal, pour autant qu'on aie des arguments valables, ce qui n'était pas son cas, car ces derniers pouvaient certes convaincre ceux qui partagent l'opinion de l'église (je précise toutefois que je n'ai rien contre ces derniers), mais auraient de quoi laisser sceptique ceux qui l'accusaient d'homophobie (lisez-le ici). Pour faire bref, le contenu de ce contre argumentaire s'obstinait à citer l'homosexualité comme contre-nature, ce qui est totalement faux. Il fait donc preuve de mauvaise foi ().

On pourrait faire un reproche similaire à certaines associations de défense des animaux, qui s'obstinent à ne pas voir les preuves que ce qu'ils disent est faux. On peut leur prouver par A+B qu'un chien peut parfaitement donner son consentement, on peut leur argumenter tout à fait logiquement qu'un acte sexuel peut se faire sans maltraitance, rien à faire, ils sont bornés à un point inimaginable, ce qui confère à leur argumentation une valeur dogmatique, donc on peut donner toutes les preuves du contraire qui existent, il vont quand même persister à croire que "les zoophiles sont des pervers qui réalisent des actes contre-nature en maltraitant systématiquement ceux qu'ils considèrent comme des objets sexuels" et s'entêtent à penser qu'un acte sexuel avec p.ex. un chien où un cheval est techniquement infaisable en l'absence de maltraitance. Ce son vraiment des cas désespérés.

Par moi587 - Publié dans : Mes arguments
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Mercredi 7 avril 3 07 /04 /Avr 15:27

D'accord, c'est en anglais, mais c'est quand même facilement compréhensible.

Par moi587 - Publié dans : Mes arguments
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