D'habitude, je n'aime pas trop celles qui son anatomiquement incorrectes, mais il y a toujours des exceptions, comme ces deux images par exemple.
"Zoophile-man, our lovers the animals" in english
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D'habitude, je n'aime pas trop celles qui son anatomiquement incorrectes, mais il y a toujours des exceptions, comme ces deux images par exemple.
Dans les récits érotiques zoo, le protagoniste est quasi systématiquement un chien. Rien d'étonnant à cela, puisqu'étant présent dans de nombreux foyers, il est évidemment le partenaire le plus accessible. Cependant, ça a un effet pervers: quand on lit un deuxième où un énième recit érotique zoo, on a un sentiment de déjà vu, ceci d'autant plus qu'il y a une scène récurrente presque dans tous les récits, au point que ça devient un peu lassant: il s'agit du chien qui lèche les organes génitaux parce qu'on y a préalablement étalé de la nourriture. Personnellement, je n'aime pas beaucoup cela, car ce faisant, l'auteur donne l'impression de vouloir parler de zoo mais ayant peur de s'avancer pour des raisons morales, légales où autres. Or quand on aborde un tel sujet, soit on y entre à fond, soit on ne dit rien, faire entre les deux étant un mauvais compromis. à mes yeux, ça n'a donc rien d'excitant.
De plus, cette scène n'est pas réellement une "relation" sexuelle à proprement parler, puisque c'est seulement le partenaire humain qui en retire quelque chose de sexuel, le chien se contentant de manger et puis c'est tout.¨Pour cette même raison, on a la désagréable impression que le chien est objetisé.
J'ai fini par être las de ne voir que des histoires de chien lécheurs d'appât étalés sur le sexe, je me suis donc essayé à l'écriture. Le résultat n'était pas terrible puisque c'était un récit fort court, très tiré par les cheveux et complètement saugrenu de surcroit. C'était d'ailleurs inévitable puisque le partenaire concerné n'était autre...qu'un kangourou. Nonobstant tout celà, le webmaster de Vassilia a été indulgent et l'a quand même publié (Amours australiennes). Bref, ce n'était pas vraiment une réussite.
J'aimerais bien trouver des histoires originales qui racontent autre chose que ce que j'ai dit plus haut, mais comme en général les gens ont peur de trop s'y aventurer, ils préfèrent faire ultrasoft, quand ce n'est pas carrément du hard-crad. Donc si quelqu'un pouvait me fournir une histoire de ce genre, il me ferait plaisir.
Un point que je n'avais encore jamais soulevé. On me dit souvent "tu dois être sacrément en manque", simplement parce que j'aurais cette sexualité "faute de mieux". Jusqu'il y a peu, je n'étais pas un assez bon exemple pour dire le contraire, puisque je n'avais jamais connu l'amour, physique où autre. Ma sexualité hors-normes pouvait donc sans problème passer pour un manque, ce que j'ai moi-même cru pendant tout un temps. Avec le recul, j'ai fini par me demander si ce n'était pas plus que ça, mais ce n'était qu'une hypothèse, même si j'en étais presque sûr. Elle s'est confirmée il y a une dizaine de jours quand je me suis déniaisé. Il faut dire que j'avais eu la chance de tomber sur une femme particulièrement décomplexée et qui m'invitait à revenir quand je voulais, j'ai donc la possibilité d'avoir du sexe quand je veux. Or ma sexualité alternative n'a pas disparu pour autant, ce n'est donc pas faute de mieux que je l'ai. Je veux bien admettre qu'il existe des gens qui pratiquent celà par misère sexuelle (un chien se fiche pas mal que vous soyez moche) mais bon nombre de gens voient ça comme une véritable orientation sexuelle au même titre que l'homosexualité (bien que ce soit en réalité plus complexe). En fait, les gens utilisent l'argument du fait d'être en manque parce que eux, ça ne les excite pas, et il fat donc être dans une situation extrême pour que ça nous excite. Voilà l'explication.
Hier soir, j'ai eu une petite discussion sur MSN. C'est alors que mon contact me proposa de raconter un rêve érotique qu'il avait fait. Intrigué, je lui dis "d'accord", et il me raconta. Je vais vous la retranscrire ici en format lisible, à l'opposé du format MSN. (Petite parenthèse pour préciser deux choses: d'abord qu'il y a une petite scène d'inceste, mais qui ne choque pas si on tient compte du cadre spatio-temporel de l'histoire, et ensuite qu'il a inventé une grande partie de l'histoire, ce dont je me doutais.)
Je me présente: je m'appelle Atem et je suis un habitant du royaume d'Anubis, et mon apparence est donc celle d'un chien anthropomorphe. Ce jour là, je rentrais chez moi comme d'habitude, lorsque soudain, deux gardes d'Anubis surgirent de nulle-part et m'empoignèrent. Sur le chemin qui menait vers la prison, je les voyais bander sous leur pagne. Puis soudain, un des deux gardes introduit un doigt dans mon anus. à ce moment là, nous nous sommes arrêtés. Puis, l'autre garde commença à se masturber devant moi. Alors que je prenais un air dégoûté, il me regardait dans les yeux, pour ensuite passer sa bite sous mon nez. J'ai pu sentir l'arôme délicieux qui s'en dégageait. Ensuite, l'autre garde se mit derrière moi, se mit à baver sur mon cul et étala sa salive avec sa bite toute raide, si bien que je pouvais sentir son jus couler sur mes fesses. Pendant ce temps, l'autre garde se masturbait toujours devant moi, lentement. L'odeur de sa bite m'hypnotisait totalement, et il le voyait bien. Il passait sa bite près de ma bouche, j'ai tenté de la sucer, mais en vain, car il repoussait ma tête en riant. Ensuite, ils me mirent sur le dos, celui qui était derrière me leva les jambes et passa sa bite sur mon trou humide sans pour autant le pénétrer.v Il me lécha l'anus en y rentrant sa langue et la monta jusqu'à ma bite qui se dressait d'elle-même. Puis, le garde qui était derrière se mit devant. il mit sa bite devant mon visage, tout en m'empêchant de la sucer. C'est alors que le premier garde dit: "Mon nom est Oranis", le deuxième garde fit de même: il s'appelait Anoris. Ce dernier s'assit alors sur mon torse et imita Oranis. Oranis retira alors sa queue et m'embrassa langoureusement. C'est alors qu'Anoris se leva, puis se mit à encule Oranis, qui était en fait son frère. Celui-ci s'arrêta net, et eut beaucoup de mal à réprimer ses cris de jouissance. Puis, Anoris se retira et courut vers moi pour m'enlacer et m'embrasser. Il bandait si fort que sa bite passait à ras de mon anus, et faillit plusieurs fois le pénétrer en passant sa bite en va-et-vient à la surface de mon trou. Il faisait ça très vite, pendant que son frère se masturbait à une vitesse surprenante. Il se hâta vers ce dernier pour le réenculer. Mais à ce moment-là, Anoris le prit par la tête, et lui fit faire un vol plané. Il réussit à le sucer en plein vol avant qu'il n'atterrisse, et Anoris se retrouva empalé sur la queue toute coulante de son frère. Ils poussaient tous les deux des petits cris de jouissance. Je les vis s'approcher de moi, après quoi je perdis connaissance. Quand je suis revenu à moi, je me trouvais dans une sorte de chambre pleine de coussins. On m'avait délié les mains, et Anubis était là, imposant, assis sur son trône. Il m'invita à me coucher sur un coussin, ce que je fis avant de sombrer dans un sommeil profond.
Quand je me suis réveillé le lendemain, Anubis et les deux gardes étaient partis. Hésitant, je suis sorti de la chambre et m'avançai vers une pièce qui semblait être la salle de bains. Anubis, qui se trouvait à l'intérieur, m'invita à le rejoindre, ce que je fis. Il se déshabilla, dévoilant son corps musclé et sa bite colossale et entra dans son bain. La vapeur faisait suer son corps. Il me fit signe de le rejoindre et je me mis à ses côtés. Il commença à m'expliquer ce que je faisais là, mais moi, tout étourdit que j'étais, je ne l'écoutais pas. J'étais absorbé par son corps magnifiquement sculpté. Alors, il me caressa les épaules, mon visage et me dit de me détendre. Sans réfléchir, je lui dis: "comment être calme avec quelqu'un comme toi ?" Pour toute réponse, il me regarda dans les yeux, qui brillaient d'un bleu céleste, ce qui me rendit aphone. Il me souffla un "je t'aime", puis m'embrassa langoureusement. Je fondais totalement sous son charme. C'est alors qu'il est sorti du bain. Il étincelait de beauté, et l'eau qui coulait sur sa bite imposante la rendait plus délicieuse à regarder que n'importe quelle autre. Littéralement hypnotisé par lui, je ne bougeais pas, quant alors il me dit "viens, mon Atem, il est temps de sortir de l'eau". Il me prit dans ses bras musclés et m'embrassa langoureusement tout en me caressant les fesses. il me serrat contre lui et me sortit de l'eau. être en contact avec son corps divin me mettait en extase, et alors que je me serrais contre lui, il me dit "ne t'inquiètes pas, je ne te lacherais pas, ni aujourd'hui, ni jamais". Ensuite, il dit "je vais te donner toute ma puissance" et il me posa par terre, puis s'appuya contre le mur. Il caressait son corps en me fixant. J'étais attiré par lui comme un aimant. Il me mit à genoux, et je fis face à sa bite de pharaon, la plus grosse que j'ai jamais vue. C'est alors qu'il me dit sèchement "suce!", ce que je me suis empressé de faire. Il faisait "hum...ah" tout en me caressant la tête. J'étais dans un état second, je ne pouvais pas m'arrêter, mais j'adorais ça, et je le suçais tout en le fixant. Il bavait littéralement sur son corps et faisait des va-et-vient avec sa bite, alors que je le suçais toujours en caressant ses grosses couilles. Mais soudain, il se retira brusquement et m'emmena tout en m'embrassant vers le coin d'un mur. Il me cogna contre, écarta mes jambes et me pénétra violemment. Sa bite m'explosait le cul, je hurlais de douleur et de plaisir en même temps, mais j'adorais ça. J'étais carrément soumis sous son charme. Il éjacula dans mon cul, mais continua quand même. Sa bite faisait le double de mon trou, mais je ne m'en plaignais pas, je n'avais jamais ressenti un tel plaisir. Je hurlais de douleur, j'étais épuisé par ses incessants coups de queue plus violents les uns que les autres. J'avais mal, mais je le suppliais pour qu'il continue, je tremblais et l'embrassais comme jamais, tandis qu'il augmentait la puissance des coups jusqu'à en éjaculer une seconde fois. Il me sortit sa bite dégoulinante et chaude et m'embrassa avec passion. J'étais épuisé par lui.
La suite sera pour plus tard, car vu l'heure qu'il était, il s'est arrêté. J'ai légèrement adapté afin que ce soit lisible et attrayant.
à suivre...
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