J'ai reçu à l'instant un mail de remerciements d'un lecteur qui a les mêmes tendances que moi et qui, comme moi, en a beaucoup souffert. à la différence de moi, il n'en avait jamais parlé auparavant (son entourage n'étant pas tolérant en la matière), et mon blog était pour lui sa première opportunité de le faire.

C'est déjà la deuxième fois que je soulage la conscience de quelqu'un grâce à mon blog. Personnellement, je suis plutôt content de moi, je n'aurais jamais cru que ça arriverait un jour. C'est pourquoi je ne le répéterai jamais assez: il faut oser en parler, il faut résister aux pressions de toutes sortes qu'imposent les lobbys. ça a été salutaire pour moi que Vassilia en parle, maintenant il a été salutaire pour d'autres gens que j'en fasse un blog, parce qu'ailleurs, on refuse d'en parler pour des raisons pseudo-légales, par haine et/où par dégoût, et n'hésitent pas à en faire preuve envers les personnes concernées. Ce faisant, cela pourrait passer pour de la diffamation, du harcèlement, de l'incitation à la haine, au suicide et de non assistance à personne en danger. Est-ce moins pire que faire ce que je fais ?

Je reviens à mon idée de départ: pourquoi pas créer un service "télézoo" ? Quand je ne m'étais pas encore assumé, j'avais appelé télé-accueil, ils n'ont pas pu m'aider car ils n'avaient jamais eu affaire à un cas comme le mien. Ce qu'il faudrait, c'est créer un équivalent spécifiquement pour ceux qui sont concernés de près où de loin par la zoo (fantasmeurs, (anciens) pratiquants, conjointe d'un(e) zoo, témoin d'une scène zoo, victimes de zoophobie,...) afin de répondre aux problèmes qui leur sont propres. Une idée à creuser.

Allez, je fais un petit hors-sujet pour raconter comment j'ai été "déniaisé" avant-hier.

Une feme qui a apparemment eu mon adresse grâce à mon blog, m'envoie un mail me disant qu'elle voulait une expérience zoo mais qu'elle voulait que je l'initie parce qu'elle avait peur de commencer toute seule. Mais comme ni elle ni moi n'avions de chien, elle m'a finalement proposé de "tout essayer avec elle". Après un échange de mails assez chauds et quelques photos d'elle à poil, elle me donne finalement son adresse, qui par chance, n'était pas trop loin de chez moi, contrairement aux annonces que j'ai l'habitude de recevoir. Rendez-vous fixé le lendemain à 11h. Je me rends donc chez elle à l'heure dite, et au parlophone, je n'avais qu'à dire "bonjour, tu m'as donné rendez-vous pour 11h" pour qu'elle m'ouvre et qu'elle m'invite à monter. Elle m'attendait sur le pas de sa porte. Elle était quadragénaire et ses cheveux étaient aussi longs que son visage, mais son physique m'importait peu. Au comble de l'excitation, je suis entré. Elle était toute attendrie par ma maladresse verbale quand nous discutions de banalités. Je lui dis "bon, ben, on commence tout de suite ?" "Toi, t'es pressé de commencer" dit elle en riant. Nous sommes allés dans sa chambre et elle commença à m'embrasser langoureusement. N'ayant jamais fait ça, je n'y parvenais pas, elle s'est donc arrêtée. Elle enleva sa culotte, laissant apparaître sa chatte rasée, dans laquelle je décidai d'enfourner un doigt. çelà provoqua chez moi une sensation inconnue, je n'avais jamais rien touché quoi que ce soit qui ait cette consistance-là. Je me suis déshabillé à mon tour et ai tenté tant bien que mal de mettre un préservatif (ce n'était pas une mince affaire, ce dernier semblait trop petit). Puis, je me suis décidé à la pénétrer. ça me faisait un peu mal, mais "c'est normal pour une première fois" me disait-elle. Là, on s'est embrassés pour de bon et je lui ai retiré son soutien-gorge. J'ai donné quelque coups de rein, me tenant quelquefois le sexe pour atténuer la douleur. Pendant ce temps là, elle me disait "fais tout ce que tu veux avec moi, tous tes fantasmes, quels qu'ils soient". Je me suis donc retiré et lui ai fait un cunni. Le goût était indescriptible, le même en fait que l'odeur mon sexe quand je bande. Je la léchais consciencieusement, faisais des bruits de succion avec tous les replis de la peau de sa chatte. Elle hurlait de plaisir. Ensuite, je la pénétrai à nouveau, puis sentant que ça allait venir, je me suis retiré puis me suis branlé un petit peu pour ensuite éjaculer sur son corps. Ensuite, nous nous sommes couchés nus, l'un à côté de l'autre, pendant que je lui faisais un petit doigtage. Elle me répétait "tu me plais, vas-y bébé, je réaliserais tous tes fantasmes". Elle s'allongea ensuite sur moi et me lécha tout le corps, jusqu'au couilles, ce qui me provoquait des frissons, puis me suça, en me retroussant littéralement la peau de la bite. C'était...divin! Ensuite, je me suis couché sur elle pour essayer un 69, c'était les mêmes sensations avec la consistance et le goût de sa chatte en plus. Puis, soudain, nous nous sommes retournés, elle se trouvait à présent allongée sur moi. Elle me dit "tu n'y couperas pas, il faut que tu jouisses dans ma chatte". Cette fois, c'est elle qui bougeait. Pendant ce temps-là, je lui ai fait un petit doigtage anal, chose que, disait-elle, elle n'avait jamais expérimenté. Elle me serrait très fort contre elle, limitant ainsi ma liberté de mouvement, me tirant même les cheveux, ce qui me faisait par moments un peu peur. Puis finalement, c'est arrivé. 

Nous nous somme couchés côte à côte, et là, je lui ai avoué que c'était m'a toute première expérience, et elle que c'était la première fois qu'elle initiait un puceau. Elle me disait toujours "tu me plais". Ensuite, nous sommes allés dans le salon pour boire un coup, puis elle a pris une douche et on s'est rhabillé. Quand on s'est quittés, elle m'a dit "reviens quand tu veux".