En fouillant un peu sur le net, on trouve vraiment des perles. Par exemple ce blog à la conception fort spartiate et dont les articles vraisemblablement écrits à la va-vite se résument à ceci (une ligne=un article, l'écriture est intacte):

slt je rech des personnes ayant pratiques la zoophilie ds le 62 voila

ya tjr personnes du 62 ds coin pour dial zoo laisser msn merci

slt a tous je rech cpl ou otre pratiquant zoo pour participer ds 62 proche lens contacter moi merci

slt tjr en rech de cpl zoophile ds le 62 secteur lens  merci laisser msn ou message

Et c'est tout ! On peut sérieusement douter de son état mental qui lui fait faire la pire contre-publicité. Et on ne s'en plaindra pas, vu ce qu'il recherche, on ne peut qu'espérer qu'il n'arrive pas à ses fins, ce qui est d'ailleurs hautement improbable. Si seulement il pouvait s'abstenir de polluer inutilement la communauté.

Ne soyons pas dupes, ce n'est pas parce que c'est officiellement considéré comme vrai que ça l'est effectivement. Ainsi, à titre exemplatif, il n'y a pas si longtemps:

-L'homosexualité était officiellement une déficience mentale

-L'homosexualité était (et est toujours ailleurs dans le monde) officiellement contre-nature

-Les animaux étaient officiellement dépourvus de sentiments

Et aujourd'hui:

-Les animaux sont officiellement inapte à être consentants (mais ils n'ont pas l'air au courant)

-Les animaux sont officiellemnt incapables d'avoir du plaisir sexuel

-Et enfin, je suis officiellement un trou du cul

Alors, si on nous considère officiellement comme des malades mentaux, ne croyez pas d'emblée que c'est vrai, parce que si ça se trouve, c'est complètement faux.

Afin de se faire une opinion sur le bien -ou pas- fondé de la zoosexualité, il est primordial de bien connaître le sujet, c'est-à-dire de se poser les bonnes questions, au lieu de se baser comme trop souvent sur des croyances supposées intangibles ou des arguments reposant sur du vide.

C'est pourquoi j'en appelle aux pratiquants réguliers d'entre-nous de participer à cette étude.

1) À quoi voyez-vous que votre chien y prend plaisir ?

2) Avez-vous observé un changement significatif de comportement après que vous ayez sauté le pas ? Lequel ?

3) Avez-vous onservé une amélioration dans son comportement subséquente à vos relations très intimes ?

4) Estimez-vous vos relations avec lui meilleures depuis votre/vos relation(s) fusionnelle(s) ?

Ce sont à mon sens les seules questions pertinentes, tout le reste n'étant que déclarations à l'emporte-pièce qui sous des dehors empathiques cachent un zèle tellement exacerbé qu'il en devient abusif et vide de sens.