Suite du chapitre précédent.

Jasmine sourit à Raja, qui était couché sur le dos et qui laissa échapper un petit grognement. Aussi féroce qu'il apparaissait, et agissait quand elle était en danger, le tigre miaulait comme un chaton. Il faisait tard dans la nuit, seuls les gardes étaient éveillés. Avec ses rideaux tirés, personne n'osait entrer de peur qu'elle crie à l'assassin. Les grognements du tigre et ses propres cris étouffés passaient inaperçus alors que la princesse l'enlaçait sur toute sa largeur. Elle connaissait Raja depuis l'époque où il était encore un tigron et a fait ça un nombre incalculable de fois. Jasmine ne compte plus les nuits passées avec la chaleur du tigre tout contre elle.

Penchée sur le corps félin, elle faisait courir sa langue jusqu'à son sexe. Raja laissa échapper un grognement pendant que langue jouait avec ses picots, faisant déjà jaillir quelques gouttes de pré-sperme. Récoltant la substance claire dans sa main, qu'elle frotta sur sa chair à lui, la faisant briller à la lumière des étoiles. Avec une main sur son ventre, elle lui fit de doux grattages pendant que son autre main commença à faire des va-et-vient sur son vit. Le gros chat s'étira, son dos arqué sur le sol pendant que sa main s'appliquait sur sa chair. En agitant son pénis, elle frotta son pouce de part et d'autre de sa colonne vertébrale, chacun des deux faisant crisper ses poils et sa chair un instant.

Raja ne serait pas long à venir, elle le savait. Le tigre pouvait ce traitement pendant une bonne minute avant de se lâcher. Spécialement après ce jour. Jasmine avait été particulièrement joueuse, jouant constamment avec ses couilles et son fourreau. Elle l'a presque amené au point de relâchement avant de faire marche arrière. Afin de s'assurer qu'il finirait quand elle le voudrait, la princesse l'a gardé à ses côtés toute la journée. Jasmine baissa les yeux et poussa un profond grognement en regardant ces grosses boules rebondir.

La princesse l'enlaça et entoura son sexe avec sa bouche. Langue et lèvres jouaient avec les picots pendant que sa main palpait les couilles du fauve, les pompant rapidement. Raja laissa échapper un bruit, qui était un mélange de nombreuses choses et se recroquevilla pour plus de plaisir. Comme dans un ralenti, elle vit ses bourses se tendre, serrées à son corps. Jasmine pouvait voir son membre se raidir, se gonfler, tandis qu'elle se tendait pour un orgasme imminent. Rapidement, elle remit sa tête et commença à le faire éjaculer plus fort, serrant plus fort. Alors que ses pattes s'étiraient vers le plafond, le tigre fit un grognement gluttural, son "eau de vie" se déchargeant sur son ventre et sa face. (...)* avant qu'il ne s'écroule sur le lit. Un ronronnement de plaisir secoua sa poitrine et sa gorge, qui commençait déjà à ramollir dans sa prise. Avec un sourire, Jasmine se lova contre Raja pour dormir.

Et voilà, c'est fini !

* Ce texte était particulièrement difficile à traduire et google translate est d'une efficacité toute relative. Aussi, j'ai éludé les phrase que je ne parvenais pas à traduire et qui n'était pas indispensable, à l'exception de l'endroit où se trouve cet astérisque. Si vous voyez des tournures bizarres où des contresens, merci de me le faire savoir.

à en croire les mots-clés, les histoires zoo intéressent beaucoup de gens. Pour l'occasion, je sers en exclusivité une histoire vraiment hot avec des personnages disney. Pour la petite histoire, j'ai trouvé le récit en anglais dans une animation flash.

Assez bavardé, je vous livre sans plus attendre les turpitudes de Jasmine.

"Raja, qu'est-ce qui t'arrive ?" demanda Jasmine à son protecteur félin qui tournait lentement autour d'elle avec une expression stoïque. Le tigre la reniflait profondément, et son museau sensible sentit l'odeur qu'il craignait qu'elle ait. Jasmine le regardait mettre son museau dans son entrejambe, reniflant profondément avant de grogner avec dédain. Il avait dû sentir le mâle en elle, elle avait couché avec Aladdin et était ça femme. Ceci devait être rectifié.

Jasmine sursauta quand Raja se mit à lui sauter dessus, lui arrachant d'un coup ses vêtements. Elle vit une chose rouge sous le ventre du tigre et comprit ce qu'il comptait faire. Il avait senti l'odeur d'aladdin, et cherchait à reprendre sa place. Elle grogna quand le tigre lui monta dessus, la pressant contre un mur et la chevauchant.

Bien que surprise, Jasmine n'avait pas peur. Elle avait confiance en Raja, il a toujours eu les meilleures intentions pour elle. Bien décidée à lui donner pour un moment une position dominante, elle resta ainsi, sa tête contre le mur et sentit sa chaude et moite erection contre sa fleur délicate, encore remplie de la semence de son précédent partenaire. Malgré son montage rapide, Raja resta immobile à regarder sa jolie maîtresse, attendant une permission.

Jasmine soupira, que faisait-elle ? D'un côté, c'était un tigre, jusque-là son protecteur, et elle lui devait toute sa gratitude. Elle hocha la tête doucement, écartant les jambes et l'autorisa à continuer. Raja ronronna de contentement et pressa doucement son membre viril dans son sexe, dilatant ce dernier de façon impressionante. La jeune femme poussa un petit cri, Raja était très bien monté et elle pouvait sentir chaque secousse dans cet étroit passage.

Raja s'aperçut qu'Aladdin était bon pour une chose: la semence de l'autre amant de Jasmine faisait un très bon lubrifiant. Jasmine était en extase pendant que son puissant tigre la pressait contre le mur, le corps de Raja pénétrait tandis que ce dernier faisait d'elle sa femelle.La fourrure frottait sensuellement contre sa peau pendant que la bite féline raide de Raja entrait et sortait de l'étroit passage, ses picots stimulant ses parois vaginales.

Le vigoureux tigre coïta son amante humaine des heures durant, enlaçant ses hanche d'une de ses pattes afin de la tenir pendant qu'il la prenait. Chaque profonde secousse provoquait un frisson de plaisir au travers de la jeune femme, son corps soumis aux désir du félin dominant. Ses cris devinrent très vite des râles d'extase pendant qu'elle était pénétrée, plusieurs cm de sa bite chaude plongeaient profondément en elle, stimulant son point de non-retour.

Un frisson, et ce fut l'orgasme, serrant son sexe contre le membre viril, projetant son amant au point culminant. Raja la pressait puissamment, libérant son épaisse semence directement dans son utérus, remplissant son corps de son essence. Jasmine sourit avec extase pendant que la semence s'écoula hors d'elle, recouvrant la bite du tigre ainsi que sa chatte bien dressée.

Raja laissa échapper un grognement de plaisir: Jasmine était SA femelle.

Suite au prochain épisode.

Cher S.,

Tu te souviens, depuis qu'on s'est connus lors de ma deuxième 3ème secondaire (équivalent belge de la quatrième, je crois), tu étais devenu mon meilleur ami comme je n'en avais jamais eu auparavant. Je suis ce qu'on appelle quelqu'un de hors-normes, et je sais à quel poit les gens hors-normes font peur, peur qui engendre le mépris, voire pire. J'avais donc vu en toi quelqu'un qui pourrait m'offrir ce qui m'avait cruellement manqué jusque-là. J'ai donc fait de nombreux sacrifices pour ne pas te perdre, allant même jusqu'à me renier moi-même, tant le fait d'être sans amis était à mes yeux pire que tout. Tout le monde a des petits travers, et j'ai fait beaucoup d'efforts pour supporter ceux qui m'irritaient le plus chez toi, à savoir: ton immaturité et tes gamineries. Peu après, J. nous a rejoints et nous avons formé un groupe soudé. Mais au fil du temps, je ne pouvais que constater le décalage qu'il y avait entre moi et vous deux. J'étais dans un cas de conscience permanent: pouvais-je risquer la solitude en brisant une amitié, qui semblait factice pour devenir progressivement nuisible ?

Puis est arrivé le jour fatidique, je m'en souviens comme si c'était hier, celui où j'ai mis ma confiance en toi à l'épreuve (inutile que je te rappelle en quoi ça consistait, tu le sais très bien). Je n'ai pas été déçu: après t'avoir tout raconté, tu t'es tapé le front en signe de consternation moqueuse, avant d'éclater de rire. Ensuite, quand une connaissance à toi est passée par là, tu lui a immédiatement dit "Hé, tu sais quoi ? "il" (moi, en fait) est zoophile". ça s'est répandu comme une traînée de poudre, je n'ai pu que constater des années d'efforts surhumains pour m'intégrer se réduire à néant. Tout le monde était au courant, et moi, je n'avais d'autre ressource que nier en bloc. Un jour, tu es venu t'excuser. J'ai été bête de croire que c'était sincère, et je t'ai pardonné. On dit souvent que le pardon n'est pas un signe de faiblesse, mais moi, je n'y crois pas. Comme je te faisais à nouveau confiance, tu avais un pouvoir sur moi...dont tu n'as d'ailleurs pas hésité à te servir. Ce petit jeu a duré un certain temps, jusqu'à ce que, lassé par tes infamies à répétitions, j'ai définitivement coupé les ponts entre nous. Définitivement, car je ne pense pas que je te pardonnerai un jour, même si l'affaire a fini par se tasser, car "celui qui cesse d'être ton ami ne l'a jamais été" (Shakespeare). Désormais, si jamais tu croises ma route, je te garantis que je vais te le faire payer, avec pour seul regret de ne pas l'avoir fait plus tôt.

Chers forumers,

Un forum est un lieu de discussion où -par exemple- on explique un problème qu'on vit afin d'avoir du soutien, sans craindre d'être jugé où méprisé. Vous ne pouviez l'ignorer, votre inscription ayant la valeur d'une acceptation sans réserve et non négociable de votre part à cette règle élémentaire. Il se trouve que vous l'avez certainement oublié quand je suis venu "troubler votre quiétude". J'étais fragilisé par quelque chose qui me faisait souffrir et cherchais juste à être rassuré, voire réconforté. J'ai été amèrement déçu: vous avez littéralement tiré sur l'ambulance comme vous ne l'auriez peut-être pas fait pour n'importe qui. ça ne vous a pas suffi que je soie en souffrance, vous aviez en plus voulu que je me sente coupable. Mais quel crime ai-je donc commis ? Croyez-vous vraiment que je soie masochiste au point de faire exprès (pour autant que ce soit possible) d'être à ce point "anormal" ? Criminaliser quelqu'un sur ce qu'il est et non sur ce qu'il fait, ça porte un nom: ça s'appelle le fascisme. Comme si ça ne suffisait pas, le modérateur est venu enfoncer le clou en affirmant, texte de lois à l'appui, que j'étais forcément un criminel, avant de mettre le sujet à la corbeille. Bel exemple de cette pseudo-tolérance dont le forum prétendait faire preuve.

Cher G.,

C'était la belle époque. J'avais assumé depuis un bon bout de temps. Pour le coup, je me sentais presque normal. Blague à part, tout allait pour le mieux. Et puis tu es arrivé. Ironie cruelle, ton commentaire se trouvait sur un article où j'évoquais les gens qui jugent ce qu'ils ne connaissent pas, comme si tu avais voulu l'illustrer. Dès que j'ai vu ce que tu as écrit, j'ai tout de suite su que ton cas était désespéré, j'ai compris tout de suite qu'à tes yeux, j'étais une sous-ordure ne pouvant même pas prétendre à une quelconque humanité. Tu as bien confirmé, avec tes textes (qui au passage m'ont fait énormément de peine) que la seule chose qui te faisais me juger si mal étaient des préjugés dûs à l'ignorance, et que tu n'as pas daigné lire un minimum mes articles qui auraient pourtant suffi à te démontrer le contraire. J'ai bien tenté de te raisonner, mais j'ai vite constaté que c'était peine perdue, tu voyais en moi un ennemi, alors que si ça avait été réellement le cas, il y a beaucoup d'articles que je n'aurais pas écrits et avec lesquels tu devrais logiquement être d'accord. Au lieu de ça, tu as condamné tout ce que j'écrivais, me confirmant encore une fois que tu n'avais même pas pris la peine de lire tout. Plus tu essayais de me donner tort, plus j'étais sûr d'avoir raison, ce qui n'aurait peut-être pas été le cas si tu n'avais pas été persuadé d'avoir affaire à une ordure. Tu avais pour projet de faire fermer mon blog, mais depuis le jour où j'ai supprimé toutes tes contributions (ça doit faire plus d'un an à présent), tu ne t'es plus manifesté, pour ainsi dire à mon plus grand soulagement.

Cet article est ma tribune personnelle, elle est aussi la vôtre. N'hésitez pas à faire de même par commentaire, ça vous fera du bien.