Mes arguments

Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 12:03

Si on lui enlève la notion du plaisir, le sexe n'offre pas de réels avantages. En effet, plaisir mis à part, le sexe est: énergivore, complexe et pas rentable. Pourtant, il est présent chez des espèces supposées ne pas y trouver du plaisir. Analyse.

 

1) Tout d'abord, il faut être deux, et du sexe différent de surcroît, ce qui peut s'avérer très contraignant.

 

2) Ensuite, même si on a réuni les deux partenaires, ce n'est pas gagné d'avance. à titre d'exemple: dans la maison où j'ai passé mon enfance, il y avait un poulailler avec un coq et plusieurs poules. D'après ce qu'on pouvait observer, on pouvait aisément constater que les rapports sexuels étaient quasi-systématiquement non-consensuels: le coq devait courir derrière la poule, puis arriver à monter et à rester dessus, et la poule ne semblait jamais disposée à le laisser faire. Si en plus il y a une résistance au coït, c'est une contrainte en plus.

 

3) Le coït proprement dit: admettons qu'ils se produise avec plus où moins de difficultés: quel est l'intérêt intrinsèque de devoir faire des va-et-vient pendant -par exemple- 10 minutes ?

 

4) Le "moment fatidique" est ce qu'il y a de plus énergivore au monde. Nouvel inconvénient: c'est épuisant.

 

5) Mais ce n'est pas terminé: s'ensuite une loooooooooongue période d'attente avant la naissance effective, et si il arrive malheur à celle qui porte le bébé, tout est à recommencer.

 

6) Quand enfin arrive l'heureux événement, c'est souvent pour un bébé unique, et qui atteint très rarement la demi-douzaine. Toute cette énergie dépensée et toute cette attente se soldant par un résultat aussi maigre, il y a de quoi être découragé.

 

J'ai lu il y a quelques temps un livre "spécialisé" qui s'interrogeait lui-aussi sur les avantages intrinsèques du sexe, et n'a donné aucune réponse définitive. En effet, avec tous ces inconvénients, le sexe aurait logiquement dû être remplacé par un moyen de reproduction plus rapide et plus efficace.

 

Conclusion: la raison d'être du sexe, ce n'est pas sa rapidité, son efficacité, sa simplicité ni sa rentabilité. Mais alors, qu'est-ce que c'est ? Il doit bien y avoir une chose qui explique son existence. Eh bien oui: le plaisir, et ça compense de loin les inconvénients précités.

Par Skippy - Publié dans : Mes arguments - Communauté : Zoo en fête
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Mardi 19 juillet 2 19 /07 /Juil 14:25

Bon, maintenant que je me suis remis, je vais reprendre une publication normale.

 

Si les APA avaient réellement de la considération pour ceux qu'ils prétendent défendre, au lieu de les prendre comme objets pour assouvir leurs fantasmes -sexuels mis à part-, il n'auraient tout simplement pas milité pour l'interdiction de la zoo. La raison est simple:

 

-Si je me suis trompé sur la loi où si celle-ci se durcit, mon blog deviendrait illégal dans ce cas de figure et moi un cyber-délinquant. On ordonnerait ainsi sa fermeture, ainsi que celle d'autres sites similaires, laissant bon nombre de gens dans la solitude, l'incompréhension, la dépression, voire le suicide. Ils ne trouveraient plus une écoute compréhensive leur accordant le statut de victime sans enfoncer le clou en les criminalisant comme si ils ne souffraient pas encore assez.

 

-Mon expérience personnelle à l'appui: peu après que j'aie assumé ma sexualité, je prenais beaucoup de plaisir à me rincer l'œil en regardant de beaux étalons. Par moments, l'excitation était tellement forte que l'envie me démangeait de sauter la barrière, au propre comme au figuré. Fort heureusement, la découverte -récente à cette époque- d'AZF m'a fait renoncer avant d'être passé à l'acte. Si une quelconque interdiction rendait AZF illégal, je n'aurais rien eu pour me dissuader et j'aurais concrétisé, et je l'aurais amèrement regretté, si par exemple j'avais blessé le cheval, si je m'étais blessé moi-même où si tout le monde eut été mis au courant (où les trois), ce qui aurait été très dommageable, pour moi et pour le cheval. C'est donc un cas où un site zoophile aura sauvé la vie d'un cheval ainsi que la mienne, chose inconcevable pour le citoyen lambda.

 

-De manière générale, des gens privés d'une marche à suivre pour éviter les catastrophes essayeraient de leur côté "pour voir", s'y prennent de travers et c'est le drame.

 

-D'ailleurs, une interdiction totale ne dissuade aucunement de passer à l'acte, certains contacts que j'ai eus sont là pour le prouver. La seule chose que ça implique, c'est qu'ils se cachent encore plus, rien d'autre, sans compter les éventuelles circonstances regrettables de la clandestinité.

 

On peut faire le parallèle avec le projet de loi en France visant à interdire la prostitution, qui au contraire de protéger les prostituées où de faire disparaître ce métier, leur sera extrêmement dommageable.

 

Nous voici donc dans un paradoxe: la SPA se rend donc (involontairement ?) complice d'une situation qu'ils sont censés combattre. C'est purement et simplement ubuesque.

Par Skippy - Publié dans : Mes arguments - Communauté : Zoo en fête
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Dimanche 17 juillet 7 17 /07 /Juil 16:32

Plus j'étudie le sujet, plus j'ai l'impression que la soi-disant volonté de protéger les animaux étant supposée justifier la mise à l'index de la zoosexualité (ça va ? vous me suivez ?) est purement secondaire, voire un alibi dans le pire des cas. Plusieurs éléments mettent la puce à l'oreille:

 

1) Interdire tout type de relation zoosexuelle, même celles dont on sait pertinemment qu'elles ne peuvent provoquer aucune souffrance, est tout simplement ubuesque, surtout dans ce cas de figure. C'est à peu près comme si des associations féministes se servaient des cas de violence sexuelle pour interdire toutes les relations hétéro.

 

2) Faisons une démonstration par l'absurde: même si les relations zoosexuelles pouvaient s'assimiler à de la maltraitance, on se retrouve devant un paradoxe, et pour être cohérent, on devrait aussi s'offusquer des pratiques d'élevage et considérer -à juste titre- qu'elles ont le même effet que des relations sexuelles. Et ça, on en est loin, puisqu'ils n'ont pas compris que le cheval se fiche pas mal que ça aie un but sexuel où d'élevage, ce n'est pas ça qui va changer la sensation qu'il aura au niveau sexuel.

 

3) Le fait de dresser un chien à une relation sexuelle est la pire des abominations, mais le dresser à quoi que ce soit d'autre est la chose la plus normale du monde.

 

4) On abuse de la question du consentement au point de la sortir de son contexte, à tel point qu'elle devient sans objet. Ce stratagème a beaucoup d'avantages:

-Elle donne un semblant de considération éthique

-On n'a pas à argumenter ni à se justifier

-Elle sera unanimement partagée, ceci dû au fait que les animaux sont soit sous-estimés, soit infantilisés

Et la dernière et non des moindre: elle dispense de se poser la question de savoir si toute relation zoosexuelle est néfaste, ce qui pourrait s'avérer trop gênant.

Se braquer sur cet argument indique deux choses: une argumentation inexistante et des considérations éthiques au second plan, puisqu'il serait nettement plus rationnel de se demander si cela implique des douleurs physiques et/où psychologiques.

 

5) On considère cela comme un acte égoïste (c'est tellement bien ancré que même des spécialistes tombent dans le panneau, c'est dire), en prenant bien soin d'"oublier" que le contenu des how to insiste bien sur ce qu'il faut faire pour que l'animal ne souffre pas. On considèrera également les affirmations de zoosexuels comme fausses (point 4) oblige) et qu'ils n'ont en réalité pas de scrupules à considérer les animaux comme des objets sexuels. Pourtant, ces messieurs ne sont pas dérangés outre-mesure par les objetisations non-sexuelles.

 

Ceci nous amène à conclure qu'ils ont en réalité d'autres motivations, moins avouables, à savoir:

 

1) Considérer le sexe comme une activité à part, une circonstance aggravante, voire une chose "dégoûtante"

2) Projeter sur les animaux un fantasme d'infantilisation et de sous-estimation

3) Exprimer son dégoût personnel en se prétendant objectif

 

Bref, rien qui ne rende service à leur prétendue cause.

Par Skippy - Publié dans : Mes arguments - Communauté : Zoo en fête
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Jeudi 7 juillet 4 07 /07 /Juil 18:03

Ces lois comportementalistes vont très certainement déclencher l'hilarité des zoologues. Et pourtant, c'est sur ces dernières que semble se baser les APA pour justifier leurs prises de position. Mieux vaut en rire pour ne pas en pleurer. Je vous laisse juger.

 

1) Tout contact sexuel entre un être humain et un animal non-humain en dehors des pratiques d'élevage provoquera chez ce dernier d'atroces souffrances.

 

2) La formulation d'un consentement est la condition sine qua non pour qu'une relation sexuelle ne provoque aucune souffrance, et les animaux étant incapables de le formuler, la souffrance sera inévitable.

 

3) Celui qui laisse faire son chien quand ce dernier le sodomise met ce dernier au rang d'objet sexuel.

 

4) Celui qui ne réprimande pas son chien dans une telle situation lui infligera de cette manière des violences sexuelles.

 

C'est dingue non ? C'est pourtant avec cette logique que fonctionnent les APA.

Par Skippy - Publié dans : Mes arguments - Communauté : Zoo en fête
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Vendredi 1 juillet 5 01 /07 /Juil 17:27

Je viens de lire à l'instant un article de zoophile.net dont je vous ai déjà parlé auparavant. Cet article est du plus haut intérêt car il peut répondre à bien des interrogations. En résumé, c'est le témoignage d'une personne (sexe non précisé) qui évoque le dressage de son chien. Pour info/rappel, le principe même du dressage est de pousser le chien à faire une chose et si il obéit, on le récompense, et si il n'obéit pas, on le sanctionne. Ici, la récompense consistait tout simplement à un astiquage de manche jusqu'à l'orgasme, rien de plus, et ne rien lui faire en guise de sanction. Le résultat final s'avère crucial car il permet de savoir sans se tromper si oui où non il aime ça. Le résultat fut sans équivoque: le chien a fini par faire spontanément ce pour quoi il avait été dressé (qui était en fait de sauter sur sa niche, selon la traduction très approximative de google), le tout en remuant de la queue. Le chien avait donc bel et bien interprété la "branlette" comme récompense, il est donc incontestable qu'il y prenait plaisir. Plus surprenant, un autre chien ayant assisté au dressage se sont mis à leur tour à sauter sur la niche alors qu'ils n'y avaient pas été dressés au préalable.

 

ça indique deux choses:

1) Le chien étais parfaitement conscient de la nature de la récompense.

2) Il aime ce type de stimulation

 

La question est donc réglée.

Par Skippy - Publié dans : Mes arguments - Communauté : Zoo en fête
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